PHILOSOPHER
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Philosopher : aimer (réfléchir sur) la Sagesse

 

Les propos les plus courts sont parfois les meilleurs. Mais .......

 

 

 

 

 

  QUI TROUVE NOTRE SOCIETE RATIONNELLE
NE L'EST GUERE.
ELLE/IL FAIT PREUVE
D'UN AUTO-AVEUGLEMENT
IRRESPONSABLE ET COUPABLE.
MAIS CE N'EST NEANMOINS PAS
UNE RAISON DE BAISSER LES BRAS.

 

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Ne jamais remettre au lendemain ce qu'on aurait déjà
pu faire  la veille

 

 

 


Ne prenez pas la vie très au sérieux;
de toutes façons vous ne vous en sortirez pas vivant.

 

 

 

LES PREMIERS PHILOSOPHES
http://mapage.noos.fr/marcpage/
Une fois arrivé sur le site,
(riche de biens d'autres trésors)
 cliquez à droite sur la tête

 

 

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"Ce qui reste à faire est plus important
que ce qui a déjà été fait."

 

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Accueil

A condition de commencer par se remettre en cause régulièrement soi-même, on peut estimer, à tort ou à raison, avoir le devoir de réveiller les consciences, tout en étant modestement conscient qu'on a ses lacunes et même ses propres contradictions.

 

 


Voir aussi
ALTRUISME
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La meilleure façon de ne pas avancer
 est de suivre
une idée fixe

       

Jacques Prévert

 

 

 

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Il faut savoir rêver très haut
pour ne pas réaliser trop bas

        Maurice Donnay  

 

Cliquez sur la photo

 

 

 

Mais au fait qui êtes-vous ?

Avant que vous ne passiez à un autre site, j'aimerais mieux vous connaître, cher lecteur inconnu. Je suis un écran interactif.

Déclinez, s'il vous plaît, devant mes pages vos noms, sexe, nationalité, profession. Décrivez-vous. Quels sont vos pôles d'intérêts dans la vie ? Quelles sont vos forces et vos faiblesses ? Quel est votre souvenir le plus agréable ? et le plus pénible ? Parlez- moi un peu de vos parents, de vos amis et de vos ambitions. Quel genre de musique écoutez-vous ? Quel genre de livres lisez-vous ? Qu'est ce qui vous énerve le plus ? Qu'est ce qui vous enthousiasme le plus ? Oh, et puis peu importe. Je sais qui vous êtes. Je sens vos mains qui caressent mes pages. C'est assez jouissif d'ailleurs. Sur le bout de vos doigts, dans les sinuosités de vos empreintes digitales, je lis vos caractéristiques les plus secrètes. Tout est inscrit dans le moindre fragment de vous. Je perçois même les traces de vos ancêtres. Dire qu'il a fallu que ces milliers de gens ne meurent pas trop jeunes, draguent et s'accouplent pour arriver jusqu'à votre nais- sance. Aujourd'hui, j'ai l'impression de vous voir en face de moi. Non, ne souriez-pas, restez naturel. Laissez-moi voir plus profondément en vous. Vous êtes beaucoup plus que vous en croyez. Vous n'êtes pas seulement un nom et un prénom avec une histoire sociétale. Vous êtes 71 % d'eau claire, 18 % de carbone, 4 % d'azote, 2 % de calcium, 2 % de phosphore, 1 % de potassium, 0,5 % de soufre, 0,5 % de sodium, 0,4 % de chlore. Plus une belle cuillère à soupe d'oligoéléments divers : magnésium, zinc, manganèse, cuivre, iode, nickel, brome, fluor, silicium. Et une petite pincée de cobalt, aluminium, molybdène, vanadium, plomb, étain, titane, bore. Voilà la recette de votre existence. Tous ces matériaux proviennent de la combustion des étoiles et ils sont répartis ailleurs que dans votre corps. Votre eau est similaire à celle du plus anodin des océans, votre phosphore vous rend solidaire des allumettes et votre chlore est semblable à celui qui sert à désinfecter les piscines. Mais vous n'êtes pas que ça. Vous êtes aussi une cathédrale chimique, un jeu de construction faramineux avec des dosa- ges, des équilibres, des mécanismes d'une complexité à peine concevable. Car vos mo- lécules sont elles-mêmes formées d'atomes, de particules, de quarks, de vide, le tout lié par des forces électromagnétiques, gravitationnelles, électroniques d'une subtilité qui vous dépasse. Maintenant installez-vous un peu mieux pour lire. Tenez votre dos droit, respirez plus amplement. Décontractez votre bouche. Ecoutez-moi.

Tout cela, tout ce qui vous entoure dans le temps et dans l'espace ne sert pas à rien. Vous ne servez pas à rien. Votre vie éphémère à un sens, elle ne mène pas nulle part. Tout a un sens. Ce n'est pas un hasard, si vous êtes là en train de me lire. Respirez amplement, détendez vos muscles, ne pensez à rien d'autre qu'à l'univers dans lequel vous n'êtes qu'une infime poussière. Imaginez le temps en accéléré. Pfout, vous naissez, éjecté de votre mère comme un vulgaire noyau de cerise. Tchac, tchac, vous vous empiffrez de milliers de plats multicolores, transformant quelques tonnes de végétaux et d'animaux en excréments. Pif, vous êtes mort. Qu'avez-vous fait de votre vie ? Seulement ? Ce n'est pas assez... Faites quelque chose, n'importe quoi, de tout petit même, mais bon sang, faites quelque chose de votre vie avant cette "mort"-ci. Vous n'êtes pas né pour rien. Trouvez (ou retrouvez ?) pourquoi vous êtes né. Quelle est votre minuscule mission ? Vous n'êtes pas né par hasard.

    D'après Bernard Werber
et son livre "Le secret des fourmis"

 

Il faut absolument
cultiver  et améliorer de plus en plus
son sens critique
(
ce qui signifie  aussi bien, mais peu le savent,
discerner  le positif autant que le négatif
)
sur la base d'informations, et de contre-informations
 régulièrement actualisées.

 

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SOCIETE DE CON-
SOMMATION

Le progrès, le bonheur, est-ce, par exemple, de pouvoir choisir, dans un hypermarché du Nord, début février, parmi la gamme plus ou moins complète de sept fournisseurs de vins alsaciens différents, alors que pendant ce temps des millions d'humains crèvent de faim (au sens propre du terme), et près de deux milliards d'humains vivent en dessous du seuil de pauvreté ?

CONS  SOTS MATEURS
?

 


QUOI DE PLUS ?

Etre théo-reconnaissant (i-e être conscient que l'Ineffable Est et avoir  plein de gratitude à Son égard, sans chercher à L'expliquer plus ou moins anthropomorphiquement), équanime (i-e serein et impassible face à tout évènement personnel ou non),  altruiste (i-e compatissant, engagé raisonnablement - les journées n'étant que de vingt-quatre heures - dans quelques actions d'intérêt collectif et prêt à répondre à tout appel à l'aide éthiquement admissible), Que chercher de plus ? 

Comprendre le big bang, les moeurs mérovingiennes, la vie sur Mars ...... et même l'avenir  de la planète Terre ou encore le pourquoi de la variété des espèces faunistique et floristique ?  Bof, tout ça  n'est qu"épiphénomène éphémère et inconsistant.

 

 

http://www.simplicitevolontaire.org/

 

 

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HELAS

Réfléchir, c'est déranger ses pensées. Hélas, même chez les "responsables" de hauts niveaux, il y en a beaucoup qui ne sont sécurisés que si les idées sont bien rangées .... depuis longtemps.

 

 

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Le discours de la Méthode

http://pages.globetrotter.net/pcbcr/methode.html

 

 

 

Comme toujours armés
des flèches de l'amour,
mais également
du bouclier de l'humour,
pensons aussi, parfois,
à combattre la connerie
à coups de points
d'interrogation.

 

FAUT-IL
« AIMER DIEU »
?

 Essayer de répondre à cette question suppose d’abord de vérifier que l’ « émetteur » (qui écrit) comme le « récepteur » (qui lit) comprennent ces deux termes de manière absolument identique.

 Convenons donc que derrière le vocable « Dieu » (avec une majuscule selon une convention dans un « occident » qu’on le veuille ou non imprégné de culture chrétienne),  il n’est pas question du vieillard à barbe blanche de l’iconographie chrétienne ; ni d’Allah irreprésentable, ni de YWH  (c’est à dire le Dieu  des juifs pas seulement irreprésentable, mais  encore « inécrivable » dans la totalité de sa prononciation, d’où la « suppression » des voyelles par écrit). Ni même d’une des représentations ou appellations de la religion hindoue qui a amené de « doctes experts chrétiens » a écrire savamment que, dans son essence, la religion hindoue est polythéiste, alors qu’il s’agissait de représentations parfois même sous forme partiellement ou totalement animale de qualités possédées forcément par un Dieu considéré comme unique. Ce n’est pas non plus un être qui ne serait que mâle, ce qui n’en fait ni un être femelle ou hermaphrodite. Ni .. ni .. Bref,  un Etre  qui a précisément amené certains sages hindous et d’autres encore sur la planète à parler d’Ineffable, en sous-entendant plus ou moins « Irreprésentable »,   auquel il faudrait logiquement être supérieur pour le « com-prendre » (au sens étymologique) ou le con-naître (toujours au sens étymologique » . Mais, quoiqu’il en soit un Etre source de tout, voire un être « en » qui nous sommes, ou encore plus complètement un Etre dont nous sommes inexplicablement  un des innombrables « composants », une des précieuses et irremplaçables partie d’un Unique TOUT.

 Quant à essayer de définir  le mot « aimer », paradoxalement, la chose est extrêmement délicate ou à nuancer quand on utilise la langue françaises en particulier. Et cela est peut-être plus compliqué et multi-compréhensible  encore que lorsqu’on utilise le mot « Dieu ». Car la langue française, chacun le sait, même les étrangers l’apprenant,  ne comporte en effet qu’un seul mot pour « aimer »  …. un ou du poisson, un spectacle, un paysage, un ouvrage, un écrit,   un enfant, un ami, une amante, etc…

 Et même si on se limite aux humains encore faudrait-il savoir si quand on dit « Je t’aime », on éprouve ce sentiment égocentrique ment pour soi ou altruistement pour l’autre, les deux pouvant être difficilement compatible, sauf si, et encore, aimer l’autre d’abord  pour lui-même vous procure ensuite une satisfaction après tout légitime et naturel.

 Aimer un autre serait-ce vouloir qu’il soit éternellement heureux ou , pour le moins heureux jusqu’à ce qu’on le mette « dans le trou après lequel il n’y a rien » ?  Pour un théiste, le bonheur suprême, c’est d’être « près de » Dieu  parce que toute sa ou ses vies  on s’et efforcé de lui être agréable, donc d’aimer les autres, voire de se sacrifier pour au moins l’un d’entre eux, sinon plusieurs ou beaucoup, sinon tous. Ce qui suppose qu’on a essayé de réduire l’impact de ses défauts et de développer au maximum ses qualités, tout en cherchant à en bien savoir le plus possible   pour être le plus  efficace possible  dans son amour, qui est aussi disponibilité à l’autre et oubli de soi ; au point même, peut-être,  d’aller jusqu’à le tuer s’il le demande en toute connaissance de cause.

 Le sens des deux mots étant maintenant sinon défini,  du moins éclairé, peut-on, faut-il « aimer Dieu » ? Est-ce une question liée à un anthropomorphisme plus ou moins infantile ?  Ou bien faut-il mieux la poser ainsi « Comment aimer Dieu ? » ?

 Peut-être que la réponse se trouve dans une certaine définition possible de l’Amour qui serait « vouloir que le  sujet (et surtout pas l’objet) de notre amour soit heureux durablement ». Mais peut-on imaginer rationnellement  Dieu malheureux ou même seulement insuffisamment heureux ? Peut-être et dans ce cas, aimer Dieu serait non seulement réaliser soi-même ce qu’Il nous souhaite, mais encore aider les autres, sans les contraindre à reconnaître l’existence de Dieu et à « progresser » vers Lui pour progressivement s’immerger en Lui, et donc « retourner » en Lui, Source  hors lieu et hors temps de tout, donc de nous, parcelles de Lui.  

 

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