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SAGESSE
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GARDONS L'ESPRIT CRITIQUE

"La sagesse veut que pour (s')éviter bien  des désappointements, voire de graves conséquences, tout grand homme, tout fait sociétal important, tout concept-clé  soit l'objet d'au moins la lecture attentive et  critique d'une approche contraire si possible contradictoire  avant d'en avoir une opinion définitive - surtout lorsqu'elle est laudative - , et a fortiori avant  de la propager."

   

 

 

SONDAGE

Quand va-t-on cesser cette ânerie   d'appeler "Les Français" un échantillon supposé "représentatif" de plus ou moins un millier de personnes parmi lesquelles on a peut-être eu la logique (quoique la démarche globale soit profondément illogique en soi) d'inclure quelques Non-Français ...... puisque la France métropolitaine ou autre n'est pas habitée que par des Français ?

 

 

LES VRAIES VALEURS
(éternelles ?)

 

Qu'on  soit théiste ou non,  on peut peut-être, (Ca n'est qu'une faillible proposition)  au moins en "humaniste",   les définir ainsi :

-  limitation patiente et persévérante de l'impact négatif de ses défauts

- développement assidu de ses qualités en tous genres, voire acquisition de nouvelles qualités et de nouveaux talents

- équanimité face à tous les évènements de la vie et même de la mort, y compris celle des être chers  aimés pour eux et pas pour nous.

- compassion permanente (quoiqu'équanime) , même quand elle ne peut qu'être "morale" et « lointaine »   face à toutes les misères

- train de vie excluant (même  si c'est relatif et subjectif) le superflu et évidemment le luxe, ne serait-ce que par solidarité avec l'environnement,  et surtout  les déjà plus de  huit cents millions de Terriens qui ne mangent pas à leur faim aujourd'hui

- profession au moins non agressive pour l'environnement et les humains d'aujourd'hui et de demain (contre-exemple : travailler dans une usine d'armement …. ou  une société au service direct ou final des futilités éphémères), sinon réellement utile à l'intérêt général.

- disponibilité aux appels à l'aide éthico-défendables de l'entourage, à l'opposé de l'imposition de son aide "charitable"

- investissement "pour entretenir sa forme altruiste" dans au moins une action militante d'intérêt plus ou moins  géographiquement large  réellement intelligente; et éventuellement soutien financier d'autres actions militantes si possible.

 

On voit mal qui peut trouver ce "programme" insensé et/ou qui plus est être contre ….. au moins pour les autres que lui. Mais est-ce vraiment là toutes les vraies valeurs,  alors que le mot et surtout  la réalité de l' "amour" n'y apparaît pas ? N'est-il/elle  pas en filigrane,  au moins en ce qui concerne l'amour des autres plus ou moins proches ? Quant à essayer quotidiennement de vivre ces vraies valeurs avant tout "pour l'amour de Dieu", c'est une option théiste (à expliciter après épuration) qu'on ne saurait imposer, mais qu'on peut toujours, modestement et sans prosélytisme aucun, évoquer; Ses voies et voix pouvant s'avérer aussi diverses qu'impénétrables.

 


 

 

 


DONNEZ-MOI DU BONHEUR


Vienne à moi, le bonheur s'il faut que je le chante,
De quoi juste entrevoir ce que chacun en sait,
Et juste de quoi rendre ma voix assez touchante,
Rien qu'un peu, presque rien, pour savoir ce que c'est.

Un peu - si peu - ce qui demeure d'or en poudre
Ou de fleur de farine au bout du petit doigt,
Rien, pas même de quoi remplir mon dé à coudre...
Pourtant de quoi remplir le monde par surcroît.

Car pour moi qui n'en ai jamais eu l'habitude,
Un semblant de bonheur au bonheur est pareil,
Sa trace éclairera de loin ma solitude
Et je prendrai son ombre en moi pour le soleil.

Qu'il vienne ! Mais ce n'est pas, juré, pour être heureuse,
Que je demande ainsi de la joie à goûter,
C'est que pour bercer l'homme en la cité nombreuse,
Le coeur aimant qu'il faut doit savoir tout chanter.

Prêtez-m'en, pour le moins, à l'heure de le rendre,
Mes mains pour le garder ne le serreront pas,
Tout offreur, c'est promis pourra, me le reprendre
Demain, ce soir,  de suite, ou bien quand il voudra...

  Inspiré d'un poème de Marie Rouget

 

Dans le prix de revient, de vente et/ou d’achat de beaucoup de biens et/ou de services plus ou moins indispensables aux petites gens, y compris les dépenses de santé vitales, est toujours inclus une fraction - fut-elle minimissime du revenu que certains  ont jugé indispensable pas seulement pour gagner leur croûte, mais aussi pour gagner leur caviar.

 

 

FAUT-IL
« AIMER DIEU »
?

 Essayer d répondre à cette question suppose d’abord de vérifier que l’ « émetteur » (qui écrit) comme le « récepteur » (qui lit) comprennent ces deux termes de manière absolument identique.

 Convenons donc que derrière le vocable « Dieu » (avec une majuscule selon une convention dans un « occident » qu’on le veuille ou non imprégné de culture chrétienne),  il n’est pas question du vieillard à barbe blanche de l’iconographie chrétienne ; ni d’Allah irreprésentable, ni de YWH  (c’est à dire le Dieu  des juifs pas seulement irreprésentable, mais  encore « inécrivable » dans la totalité de sa prononciation, d’où la « suppression » des voyelles par écrit). Ni même d’une des représentations ou appellations de la religion hindoue qui a amené de « doctes experts chrétiens » a écrire savamment que, dans son essence, la religion hindoue est polythéiste, alors qu’il s’agissait de représentations parfois même sous forme partiellement ou totalement animale de qualités possédées forcément par un Dieu considéré comme unique. Ce n’est pas non plus un être qui ne serait que mâle, ce qui n’en fait ni un être femelle ou hermaphrodite. Ni .. ni .. Bref,  un Etre  qui a précisément amené certains sages hindous et d’autres encore sur la planète à parler d’Ineffable, en sous-entendant plus ou moins « Irreprésentable »,   auquel il faudrait logiquement être supérieur pour le « com-prendre » (au sens étymologique) ou le con-naître (toujours au sens étymologique » . Mais, quoiqu’il en soit un Etre source de tout, voire un être « en » qui nous sommes, ou encore plus complètement un Etre dont nous sommes inexplicablement  un des innombrables « composants », une des précieuses et irremplaçables partie d’un Unique TOUT.

 Quant à essayer de définir  le mot « aimer », paradoxalement, la chose est extrêmement délicate ou à nuancer quand on utilise la langue françaises en particulier. Et cela est peut-être plus compliqué et multi-compréhensible  encore que lorsqu’on utilise le mot « Dieu ». Car la langue française, chacun le sait, même les étrangers l’apprenant,  ne comporte en effet qu’un seul mot pour « aimer »  …. un ou du poisson, un spectacle, un paysage, un ouvrage, un écrit,   un enfant, un ami, une amante, etc…

 Et même si on se limite aux humains encore faudrait-il savoir si quand on dit « Je t’aime », on éprouve ce sentiment égocentrique ment pour soi ou altruistement pour l’autre, les deux pouvant être difficilement compatible, sauf si, et encore, aimer l’autre d’abord  pour lui-même vous procure ensuite une satisfaction après tout légitime et naturel.

 Aimer un autre serait-ce vouloir qu’il soit éternellement heureux ou , pour le moins heureux jusqu’à ce qu’on le mette « dans le trou après lequel il n’y a rien » ?  Pour un théiste, le bonheur suprême, c’est d’être « près de » Dieu  parce que toute sa ou ses vies  on s’et efforcé de lui être agréable, donc d’aimer les autres, voire de se sacrifier pour au moins l’un d’entre eux, sinon plusieurs ou beaucoup, sinon tous. Ce qui suppose qu’on a essayé de réduire l’impact de ses défauts et de développer au maximum ses qualités, tout en cherchant à en bien savoir le plus possible   pour être le plus  efficace possible  dans son amour, qui est aussi disponibilité à l’autre et oubli de soi ; au point même, peut-être,  d’aller jusqu’à le tuer s’il le demande en toute connaissance de cause.

 Le sens des deux mots étant maintenant sinon défini,  du moins éclairé, peut-on, faut-il « aimer Dieu » ? Est-ce une question liée à un anthropomorphisme plus ou moins infantile ?  Ou bien faut-il mieux la poser ainsi « Comment aimer Dieu ? » ?

 Peut-être que la réponse se trouve dans une certaine définition possible de l’Amour qui serait « vouloir que le  sujet (et surtout pas l’objet) de notre amour soit heureux durablement ». Mais peut-on imaginer rationnellement  Dieu malheureux ou même seulement insuffisamment heureux ? Peut-être et dans ce cas, aimer Dieu serait non seulement réaliser soi-même ce qu’Il nous souhaite, mais encore aider les autres, sans les contraindre à reconnaître l’existence de Dieu et à « progresser » vers Lui pour progressivement s’immerger en Lui, et donc « retourner » en Lui, Source  hors lieu et hors temps de tout, donc de nous, parcelles de Lui.  

 

 

« Le monde  religieux n’est pas rationnel; le monde  politique n’est pas rationnel; le monde  économique n’est pas rationnel;  le monde scientifique n’est pas rationnel ; le monde judiciaire n'est pas rationel; le monde militaire  n’est pas rationnel; le monde universitaire et scolaire n’est pas rationnel; le monde  associatif n’est pas rationnel; le monde  sportif n’est pas rationnel; etc. , etc. Il n’y a  que, modestement et hors surtout de toute église, secte ou même micro-association,  la reconnaissance reconnaissante de l’existence de l’Ineffable et la liberté qu’Il nous a donné de devenir , vie après vie,  - ce qu’Il pouvait nous souhaiter de mieux - Sagesse, Equanimité,  et Amour,  y compris donc forcément de pouvoir  "irrationnellement"  agir dans le sens contraire plus ou moins longtemps,   qui soient rationnel"

 

Je vous prie de bien vouloir  me faire le cadeau d’accepter en cadeau le diaporama joint *. Vous pouvez évidemment en faire ce que bon vous semble : on n’exige pas de savoir ce que son destinataire fera d’un cadeau et on le lui impose encore moins. Certes si vous en modifiiez un propos d’une façon peu aimable en m’en attribuant la responsabilité, il se pourrait que cela m’émeuve ; mais ce ne serait alors qu’une preuve que j’ai encore beaucoup de progrès à faire en sagesse et en équanimité et que mon évolution spirituelle est encore bien imparfaite.

Que la vôtre progresse au mieux au sein de l’Ineffable.

* par exemple

 

 

Confucianisme - Taoïsme - Bouddhisme

Les sagesses chinoises fascinent l'Occident. Elles nous aident à mieux vivre et attirent un public de plus en plus large. Voici un art de vivre teinté de philosophie, de religion, de politique, qui englobe le corps et l'esprit. Petit guide pour comprendre ces traditions millénaires et s'orienter dans la pensée chinoise.

Imaginez, si vous le pouvez, un monde sans Dieu ni mort de Dieu. Un monde où les contraires ne s'opposent plus mais se complètent. Un univers où, en somme, personne ne sort jamais du "Ciel" qui le contient... Imaginez que le Bien et le Mal, le corps et l'esprit, ces dualismes qui structurent nos façons d'être et de penser depuis Platon et auxquels nous sommes, par habitude, si viscéralement attachés, apparaissent soudain comme autant de faux problèmes... Sommes-nous capables, en Occident, d'envisager un rapport au réel qui n'exige pas de lui trouver un sens unique? Sommes-nous assez lucides (ou désintéressés) pour ne pas demander à Dieu de récompenser nos sacrifices comme de punir nos offenses? Avons-nous le bon sens de concevoir la mort non pas comme une tragédie imposant, pour lui survivre, de démontrer la pseudo-immortalité de l'âme, mais l'élément parmi d'autres d'une économie d'ensemble où se déploie sans fin, comme les battements du cœur, le souffle de l'énergie vitale?

Que ce soient le taoïsme, le confucianisme ou le bouddhisme, les trois "sagesses" chinoises accordent toutes à l'homme une place considérable: l'homme réunit en lui les vertus du Ciel et de la Terre, et il lui appartient, pour son propre accomplissement, de les mener à l'harmonie. Malgré leurs différences, les pensées chinoises forment à chaque fois, dans une langue non conceptuelle, un dispositif singulier que sous-tend toujours, comme un fonds commun, la figure du sage. Ce dernier est éternellement disponible, "sans idée, sans nécessité, sans position, sans moi", comme le dit le philosophe sinologue François Jullien. Ainsi Confucius déclare-t-il: "L'homme de bien est impartial et vise à l'universel; l'homme de peu, ignorant l'universel, s'enfonce dans le sectaire." Autrement dit, le sage est celui qui comprend tout. Le sage, c'est le compréhensif qui, au lieu de verser, comme un rhéteur, dans un dogme aux dépens du dogme adverse, choisit de se faire "disponible" à toutes les options en présence. Le propre de la sagesse est de maintenir l'ouverture à tous les possibles, en vertu de l'exigence d'adéquation à la situation. Et la pensée chinoise recherche moins la vérité que la disponibilité, redoute moins l'erreur que la partialité. On peut donc penser sans prendre position. Voici la première leçon de la sagesse chinoise.

Mais, découvrir les sagesses chinoises, c'est surtout prendre le risque de renoncer aux problèmes qu'on a l'habitude de se poser. A quoi sert, en effet, toute notre philosophie, quand elle est confrontée à un discours qui dilue, comme autant de mauvaises questions, chacune de nos interrogations fondamentales? A quoi sert la notion de "progrès" là où tout est processus cyclique? Que reste-t-il de l'origine quand on déplie le monde comme un vaste dispositif éternel? Plutôt que de reprocher à Dieu le monde tel qu'il est, il importe ici d'éprouver, à partir de sa respiration, le renouvellement ininterrompu du monde comme il va. Deuxième leçon.

Bien plus qu'un art de vivre. Quand on sait qu'en Occident la philosophie se donne, étymologiquement, comme l'"amour de la sagesse", c'est-à-dire dépourvue d'une sagesse qu'elle désire, et quand on sait qu'en philosophie les questions sont plus essentielles que les réponses, peut-on encore parler de "philosophie chinoise"? Pour le philosophe Marcel Conche, spécialiste des présocratiques et auteur d'une traduction récente du Tao te King, ouvrage fondateur du taoïsme philosophique, cela ne fait aucun doute: "En Occident, on parle plutôt de "sagesse" chinoise que de "philosophie". Pourquoi cela? C'est que, en vertu d'un préjugé européo-centriste, la langue chinoise serait impropre à la philosophie, de par une relative incapacité à manier les concepts - et donc à s'élever à la véritable spéculation métaphysique. La philosophie chinoise se trouve alors édulcorée en une simple sagesse pratique, un art de vivre et de s'adapter aux changements. Cette manière de voir méconnaît la forme fondamentalement réaliste de la pensée chinoise, qui est en prise sur le réel lui-même, sans s'arrêter à la construction mentale qui le représente, ou est censée le représenter, dans la conscience."

A ceux donc qui ne se satisfont pas de tenir la philosophie pour la quête d'une insaisissable vérité, on ne saurait trop recommander la lecture et la compagnie de la sagesse - ou philosophie - chinoise, car - troisième leçon - l'inquiétude n'a pas de sens, là où la vérité n'est pas une fin: "Je n'ai jamais lu le verbe "douter" connoté positivement en chinois", confesse François Jullien. Etrange compagnie, en vérité, que celle d'une pensée qui choisit de suivre les mouvements immédiats de la vie plus que les articulations abstraites, rigoureuses (ou rigides) de la théorie. Singulière amie, qu'une "philosophie" dont les principes se nomment "souffle vital" (qi), "voie" (dao), ou encore "vertu d'humanité" (ren).

Puisque la Chine fonctionne comme un ailleurs fécond, il serait absurde (ou manichéen) de choisir une sagesse aux dépens de l'autre. Autrement fertile est la démarche consistant à entrelacer la Chine et l'Occident, comme le yin et le yang, ou l'adret et l'ubac d'une seule montagne. La pensée chinoise est une pensée de la polarité: elle met en évidence l'union des contraires et leur coopération permanente. Pourquoi ne pas en faire le principe d'une lecture interactive plutôt que d'une alternative rigide? D'ailleurs, les passerelles existent entre les deux mondes et laissent entrevoir la possibilité d'un fonds commun de l'expérience et de la morale: quand Tchouang-Tseu déclare qu'il faut "savoir ce contre quoi on ne peut rien et l'accepter comme sa destinée", et que c'est là "vertu suprême", il est presque stoïcien. Quand Héraclite considère que les "opposés coopèrent", et tient pour inséparables le jour et la nuit, l'hiver et l'été, la guerre et la paix, ou encore la satiété et la faim, il dit ce que la Chine n'a jamais cessé de penser à travers l'inséparabilité du yin et du yang. Lorsque Confucius demande "ce que tu ne voudrais pas que l'on te fasse, ne l'inflige pas aux autres", on entend aussitôt la voix de Matthieu: "Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le vous-même pour eux." (7, 12) Claude Lévi-Strauss a décidément raison de penser qu' "il n'y a que les différences qui se ressemblent"!

Aujourd'hui, le monde n'est plus bipolaire; cela impose d'abjurer nos anciennes manières de penser. Rien n'est plus utile que de mêler nos certitudes à l'impermanence de ces sagesses lointaines. Les hybrides qui en naissent sont, à coup sûr, plus intéressants que les sempiternels ouvrages qui se demandent encore comment donner un sens à la vie après la mort de Dieu... Ainsi, plutôt que de faire des courbettes vénales à la dictature chinoise tout en s'agrippant aux préjugés de la métaphysique occidentale, l'Occident gagnerait à apprendre des Chinois - autre leçon - que "ce ne sont pas les richesses qui rendent un Etat prospère, mais la justice." Ainsi parlait Confucius.

                                            par Raphaël Enthoven  Lire, avril 2004


Sur le confucianisme
Entretiens
Confucius
180 p., Gallimard, 1989, 6,50 euros
préface de René Etiemble
Confucius
René Étiemble
320 p., Folio essais, 1986, 7,30 euros
traduit du chinois par Anne Cheng
Confucius
Danielle Elisseeff
320 p., Découvertes Gallimard 2004, 11,60 euros

Sur le taoïsme
Tao te King
Lao-Tseu
422 p., PUF, 2003, 20 euros, traduit du chinois par Marcel Conche
Le taoïsme
Martin Palmer
238 p., Rivages poche, 1997, 9 euros, traduit de l'anglais par Sophie Bastide-Foltz

Sur le bouddhisme
Les dits du Bouddha: le Dhammapada
226 p., Albin Michel, 2004, 6,95 euros
Les maîtres zen
Jacques Brosse
388 p., Albin Michel, 2001, 9,50 euros
Le bouddhisme zen
Alan W. Watts
300 p., Petite Bibliothèque Payot, 2002, 9 euros

 

 


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