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LES |
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Remarque initiale : Il y a sur la Toile (référencés sur ce site-ci) d'excellents sites sur les judaïsmes. Il n'est donc pas question ici de faire double emploi. Mais bien d'ajouter des réflexions personnelles faillibles qui susciteront peut-être des réactions et échanges intéressants |
Si on revendique une appartenance à une religion plus ou moins ancienne ou même à une secte plus ou moins récente qui vous fait estimer, avant tout, que vous devez corriger vos défauts, développer vos qualités, avoir un train de vie qui n'insulte pas la misère mondiale et aider dans la mesure de vos moyens ceux qui vous appellent à l'aide, quels que soient les fondements de cette religion ou de cette secte, et que vous vous efforcez réellement sincèrement et sereinement de vivre ainsi, sans prosélytisme, peu (m')importe. La société ne saurait en pâtir, bien au contraire. |
A propos du MOÏSE
de Gérald MESSADIE
http://www.livresplus.com/data/cr0008.html
. J'avoue ... ... que les balancements de tête et les nattes et le costume noir me font sourire et même m'attristent. Mais il me semble que c'est une réaction partagée par bien des juifs pratiquants réfléchis. |
Ah si seulement on pouvait prouver
que c'est bien Dieu ou Allah ou Yahwe
qui a inspiré, sinon écrit,
le livre sacré de chaque religion monothéiste,
on pourrait peut-être éventuellement admettre
qu'on tue les âmes et/ou les corps
en son nom
par
Pierre Lance ( N° 140 - janvier-février 2001) http://perso.wanadoo.fr/lerenouvelle/pub/R%8Evisionnistes.htlm
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IL FAUT
LIRE
Cliquez ci-dessus
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. IL EST EVIDENT QUE
des femmes et des hommes s'efforcent sincèrement de vivre l'une ou l'autre des conceptions métaphysiques ci-dessus évoquées; mais il ne leur est pas facile de ne pas être victime de et/ou maîtriser un poison et une béquille. Le poison, c'est "le Livre" ou les livres "inspirés" liés au fondateur, à ses disciples ou à ses successeurs généralement divisés. Au nom de ces écrits on peut faire le bien, mais on a fait beaucoup de meurtres; ou pour le moins on s'est servi de ces écrits pour justifier des objectifs et/ou des actes très humains, très égocentriques, très matériellement intéressés. La béquille, ce sont les rites en tous genres que beaucoup d'autres qu'eux - les sincères ci-dessus évoqués - non pas respectent, mais font plus ou moins mécaniquement, sans ou sans beaucoup vivre l'esprit de la religion qu'ils revendiquent. Alors que l'affirmation selon laquelle il y a un bénéfice à tirer de rites vécus en assemblée est peut-être une réalité, mais très bassement matérielle utile avant tout au financement de la vie des cadres depuis les plus modestes jusqu'aux plus hauts. |
RacismeUn article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. http://fr.wikipedia.org/wiki/Racisme [modifier] Le mot racisme se rapporte a un ensemble de pratiques, de croyances ou d'institutions qui opèrent une discrimination négative entre les êtres humains en fonction de leur appartenance supposée à telle ou telle race. Le racisme est aussi l'opinion selon laquelle la race détermine, avant toute autre caractéristique, les capacités d'un être humain, et qu'il convient donc de les traiter différemment selon leur race. Le racisme est aussi une théorie établissant un lien direct entre l'appartenance supposée d'un être humain à une race (ou sous-espèce) et ses caractéristiques physiques, intellectuelles ou morales. En ce sens strict, qui ne se réfère qu'à l'étude de faits biologiques (d'ailleurs discutés), on préfèrera le terme de racialisme, car les théoriciens du racisme se sont généralement moins intéressé à la pure biologie humaine, qu'aux conséquences sociales de l'existence des races et aux éventuelles mesures à prendre. De ce fait, le racisme est généralement assimilé à une idéologie se fondant sur l'hypothèse racialiste pour justifier une relation d'ordre univoque sur l'ensemble des humains, justifiant et même nécessitant la mise en place de différences légales ((ségrégation sociale et culturelle, discrimination politique, etc.), au nom des différences biologiques de groupe. Historiquement, il s'agissait généralement de justifier le droit (et même le "devoir") pour une race de dominer une ou plusieurs autres, notamment dans un cadre colonial. Soulignons toutefois qu'indépendamment de toute relation d'ordre entre les races, mais dans le cadre d'un certain eugenisme, le racisme a également désigné le droit pour un groupe à se "protéger" contre les conséquences supposées néfastes pour les générations futures d'un "abâtardissement". Dans cette logique, on utilise le mot racisme dans le langage courant, pour parler de discriminations fondées sur d'autres critères. Par exemple, une discrimination basée sur une religion (ex: racisme anti-juif, anti-musulman), une nationalité, une ethnie ou un groupe social, l'activité sexuelle, etc. Toujours dans cette logique, l'anti-racisme s'applique généralement à réfuter l'hypothèse de l'existence des races (Cf. racialisme), plus qu'à réfuter les éventuelles actions proposées.
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