SE SOIGNER
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ON NE SAURAIT JAMAIS TROP
RECOMMANDER LA LECTURE DE

UNION NATIONALE DES ASSOCIATIONS CITOYENNES DE  SANTE

(U.N.A.C.S.)

Secrétariat :  
   La cour du Puits Brais – 35490 – Vieux-Vy-sur-Couesnon  
  antoinette.costa@free.fr
Les Champs Grivots – 18500 – Vignoux sur Barangeon
 JP.Gaufilet@wanadoo.fr

Et si tout ce que vous avez appris
à propos du SIDA était faux ?

Ce document multimédia vous donne des explications claires pour comprendre que le "sida" est un concept sans aucune base scientifique réelle. Enlever les dogmes transmis médiatiquement et la réalité apparaîtra. Le "sida" est un syndrome défini artificiellement et non une maladie. Chacun des éléments qui participent à ce syndrome a une cause et une solution qui peuvent se comprendre et se soigner en dehors de toute psychose collective et surtout en dehors de toute origine prétendument virale de la maladie.

« Créer une plateforme libre pour les discussions académiques sur l'existence, la causalité ou non du VIH, est essentiel et un droit fondamental humain. Mais, à notre avis, ces discussions n'auront aucun rôle pratique pour mettre fin au génocide appelé "SIDA". Ce dont nous avons besoin, c'est de l'information et l'accès aux traitements efficaces, non-toxiques et bon marché. Pour arrêter le meurtre légal au nom du "SIDA", il est temps d'évoluer au-delà de la compréhension du "SIDA" en tant qu'erreur scientifique pour comprendre qu'il est devenu un succès florissant aux niveaux social, politique et économique. »
Dr. Michael Ellner, Président de HEAL à New York.

La suite :
http://www.sidasante.com

"LA SANTE SURTOUT"

On entend souvent cela durant tous les mois de Janvier
 Certes, mais beaucoup de gens ont perdu ou vont perdre
 l'effectivement très précieuse santé de leur corps
 parce que beaucoup d'autres, voire eux-mêmes,
 ne soignent plus la santé de leur âme,
 i-e ont un coeur encrassé par l'égoïsme matérialiste.
 

« Nous avons pris l'habitude de croire qu'aucune maladie ne pouvait guérir sans médicament. pourtant, ceci n'est qu'une superstition. Les médicaments sont toujours dangereux. ».
                                                                                 GANDHI
 

D'accord.
C'est généreux
Mais encore faut-il
être certain
AVANT
que le donneur soit
définitivement mort
:-)))) & :-(((((
PS. On a parfois eu des surprises.

Le rire et l'humour
au service du corps et de l'esprit

L'humour et le rire font un retour triomphant dans le développement personnel et le bien-être, pour d'excellentes raisons, physiques et psychiques. Sur le plan physique, le rire agit comme un mécanisme de défense et parfois de guérison ; il active le système hormonal, nerveux, glandulaire et respiratoire. Lorsque vous riez, votre cerveau secrète des endorphines, identiques à celles des sportifs d'endurance, qui donnent un second souffle, effacent les douleurs et redonnent de l'énergie. Dans le fou-rire, la quasi totalité de vos muscles se détendent, ce qui entraîne euphorie et légèreté. Les idées noires disparaissent, le corps est béat. Ainsi, le rire est un antidote naturel à l'épuisement, un phénomène physique et communicatif. Le rire est utilisé dans les hôpitaux pour améliorer l'état d'esprit des malades, et faciliter les mécanismes de guérison. Beaucoup de malades diminuent ainsi leurs doses de médicaments, et aident leurs cellules à mieux réagir face aux agressions. Ils retrouvent également une certaine " normalité " et leur dignité. Il existe de nombreuses nuances qui vont du rire à l'humour. On peut rire à gorge déployée comme des enfants, rire pour rien comme des amoureux, rire pour des idées ou des situations amusantes. Le rire est sans doute la transe la plus saine, celle qui rapproche le plus les humains, quand ils rient ensemble, avec, et non contre quelqu'un. Souvenons-nous que nous n'avons pas à inventer le rire. Il est déjà en nous, depuis toujours, attendant de se réveiller.

Site :www.Bernard-Raquin.com " Rire pour Vivre, les bienfaits de l'humour" (Editions Dangles)

VACCINER LE NOUVEAU NE
????????

Le Dr Choffat, médecin généraliste homéopathe suisse se positionne non pas comme étant contre les vaccins, mais comme étant contre la politique vaccinale. Il insiste sur la nécessité d’observer le patient autrement, dans sa globalité, par opposition au morcellement que l’on constate aujourd’hui dans les spécialisations médicales (le pneumologue, le cardiologue, le podologue, tous ceux qu’il appelle « les –ogues » !) 

En tant que praticien, il a pu constater, suite à des vaccinations, des lésions neurologiques minimes réversibles (troubles du caractère ou du comportement), ou beaucoup plus graves (l’autisme).

C’est pourquoi, avant de prendre la décision d’effectuer une vaccination, il convient de mettre en balance la maladie et le vaccin :

        -         La maladie : sa gravité, sa fréquence, son traitement.

        -         Le vaccin : son efficacité, ses complications.

Pour exemple, le BCG étant clairement inefficace, il considère que la vaccination n’a pas à être pratiquée : on ne peut tolérer le moindre effet secondaire pour un vaccin inefficace. 

Mais alors comment expliquer une telle pression concernant la politique vaccinale ? Force est de constater que la recherche en médecine est pervertie car la priorité est donnée aux actionnaires, et non aux malades. L’évolution des campagnes de vaccination illustre assez bien le phénomène :

-         La première campagne était orientée vers les maladies graves, telles que la polio, la diphtérie, la variole, …

-         La deuxième campagne a visé les maladies « normales », dites d’enfance : la rougeole, les oreillons, …

-         Nous en sommes à un troisième type de campagne : les vaccins contre des maladies rares et touchant des populations limitées, autrement dit des maladies DONT LE PUBLIC NE CONNAISSAIT PAS L’EXISTENCE AVANT LA CREATION DU VACCIN (haemophilus influenzae, par exemple).

Le pompon revient quand même au vaccin anticonceptionnel : un vaccin contre la vie, il fallait y penser !! Et comme le faisait remarquer le Dr Choffat avec beaucoup d’humour : « il est vrai que la vie est une « maladie » sexuellement transmissible, aboutissant à la mort dans 100% des cas !! » 

Plus sérieusement, et de façon dramatique, des recherches seraient en cours pour concevoir un vaccin unique, qui contiendrait déjà les rappels (distillés dans l’organisme en différé), ce qui constituerait une véritable bombe à retardement pour le sujet réactif, sans aucun moyen de faire marche arrière ! Toujours plus de vaccins et toujours plus tôt ! A quand les vaccins avant la naissance ? 

Alors, se battre pour la liberté vaccinale ? Oui ! Mais pourquoi sommes-nous si peu nombreux ? Le Dr Choffat a une ébauche de réponse : « Tout le monde a peur de la liberté car elle implique la responsabilité. »

A méditer.

http://bien-naitre-et-grandir.chez.tiscali.fr/activites/CRchoffat.html

Bernard Kouchner, entre autres, affirme que la santé va nous coûter de plus en plus cher.

Qu'en serait-il si on ne surpayait pas, non pas les précieux généralistes qui sont sous-payés, mais la majorité des spécialistes et les laboratoires et les fabricants de matériel médical et leurs représentants ?

VOUS AVEZ DIT "SECU" ?

De plus en plus nombreux, vu que, si les pauvres augmentent,  la classe moyenne supérieure s'enrichit encore, des gens bouffent comme des cochons, boivent comme des trous, font la fête hebdomadairement au moins, se payent des sports extrêmes ou des vacances de luxe ... et se retrouvent chez de coûteux spécialistes médicaux, ou encore à l'hosto, sinon sur le billard.

Et c'est les cotisations de ceux qui ont une vie plus raisonnable par convictions et/ou obligations qui payent les soins de ceux qui ont largement coûté plus qu'ils n'ont cotisé.

Et on réduit les remboursements, avec la bénédiction de représentants syndicaux vivant personnellement à l'aise,   ... parce qu'il y a un trou  de la sécu.