CODE DE LA ROUTE
III

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PRIORITE A DROITE

Force est d'admettre que ca provoquerait, au moins pendant quelques mois des accidents, y compris mortels, mais il n'empêche que la priorité à droite quand on confuit à droite est un non sens dont les conséquences sont aussi parfois mortelles. Or au bout d'un an de changement le bilan ne serait pas forcément négatif.

Le code de la route devra un jour être enfin
rationnel et modulable;
en attendant il n'est pas respectable et donc pas respecté.

 

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LE VRAI DANGER

Les gens qui roulent en dessous du maximum autorisés avec bonne conscience s'avèrent parfois plus dangereux que ceux qui, sain de corps et d'esprit, avec prudence, dépassent dans des limites raisonnables, les vitesses arbitrairement fixées ...... au départ pour limiter la consommation de carburant durant la première crise pétrolière de 1973.

Car, de fait, on oublie souvent qu'il y a eu détournement juteux d'une bonne intention par des gouvernements de droite comme de gauche qui consacrent toujours à l'envi- ronnement un pourcentage annuel du budget national qui n'est pas à la hauteur de la gravité de la situation; démontrant ainsi amplement leur peu de sens des responsabilités vis à vis des générations futures dont ils font preuve.

NB. Et c'est précisément parce que je me bats sans ménager les irresponsables depuis plus de vingt cinq ans (et bien plus que beaucoup) que, entre autres, je n'ai jamais eu les moyens de m'offrir un véhicule le moins polluant possible. Il m'arrive donc, à regret, de polluer en roulant "vite" dans ma nième vieille voiture plus que possible parce que je suis pressé .... de continuer de militer.

Le code de la route devra un jour être enfin
rationnel et modulable;
en attendant il n'est pas respectable et donc pas respecté.

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PETITION
 

 

PETITION

 

Je m’associe à toutes celles et tous ceux qui demandent

0/ que l’état français finance la disparition des ponts noirs répertoriés

1/ qu’on réécrive en le rationalisant  tout le code de la route

2/ que l’état français budgétise la mise en œuvre rapide d’un politique de transport groupé des personnes et des biens maillant,  fréquent et économiquement incitatif..

3/ qu’on cesse de traiter comme des vaches à lait sur pneus les gens conduisant raisonnablement même quand ils dépassent des vitesses arbitrairement fixées et  légalisées à ne pas confondre démagogiquement avec des vitesses excessives qui ne le sont effectivement que dans certains contextes et/ou  à certaines heures.

4/ qu’on interdise la fabrication et/ou la vente en France de véhicules inutilement puissants et qu’on impose  les moteurs à consommation réduite, même au dépens  des rentrées de TIPP au  ministère des finances.

5/ Qu’on interdise la vente d’alcool en boite de nuit au moins le  samedi et les veilles de jours fériés

6/ qu’on sanctionne les camions et autres  véhicules lents créant des files de voitures derrière eux

 

Toutes ces mesures réalistes non exhaustives  devant  sérieusement réduire le nombre de morts et de grands blessés sur les routes et autoroutes que l’état français doit cesser de manipuler démagogiquement pour cacher son incurie et ses irresponsabilités. . 

 

 

LE VERITABLE RACKET
DU STATIONNEMENT PAYANT

La seule apparente justification du stationnement payant, c'est de protéger l'accès aux commerces qui ont animé et continuent d'animer utilement le centre-ville.

Et pourtant, c'est encore un des nombreux fruits, d'une part, de l'irréflexion des technocrates et des élus et, d'autre part, de la grégarité moutonnière des électeurs.

C'est pourtant facile à comprendre. Soit, de toutes façons, parking payant ou pas, vous n'avez pas l'intention de traîner au centre-ville, donc vous cherchez une place que vous ne mobilisez pas plus qu'indispensable et, pour ne pas avoir un PV, vous payez grégairement. Soit vous allez vous promener en centre-ville avec la possibilité d'y enrichir l'un ou l'autre commerçant par votre achat et il est possible que la peur d'un PV ne vous fera pas regarder la vitrine d'un de plus des commerçants apparemment favorisés par le stationnement payant qui aurait peut-être été bien heureux que vous l'aidiez à payer sa patente. Soit vous donnez, à tort ou à raison, un rendez-vous d'une durée plus ou moins prévisible dans un café à quelqu'un en centre-ville et vous mettez l'argent qu'il faut et ça ne libèrera pas plus vite ou moins vite une place. Soit vous êtes patron, gérant ou sa larié d'un magasin en centre-ville, et vous êtes assez bête pour bloquer une place de stationnement toute la journée, et votre cas d'utilisateur d'une véritable voiture-ventouse est désespéré.

Mais vous pouvez aussi être un "bureaucrate" (venant généralement sans d'autres bonnes raisons travailler en voiture) sans beaucoup de clients venant vous voir en centre-ville; et là des élus responsables devraient vous "dissuader" de venir au boulot en voiture, ou alors vous aider à laisser votre véhicule sur un parking périphérique gardé peu ou pas coûteux et à prendre les navettes que les dits élus supposés intelligents devraient avoir déjà mises en place.

Globalement une analyse fine, avec internalisation des coûts externes démontre que l'incurie actuelle coûte sociétalement très chère. Sauf en fait de TIPP (taxe intérieure des produits pétroliers) pour Bercy comme toujours.

Mais le pire avec ce racket moyenâgeux, appelé autrefois octroi, c'est la situation de ceux qui habitent en centre-ville, sans avoir de garage et, soit n'utilisent pas leur voiture pour aller au travail, soit sont retraités, soit sont chômeurs. On devrait quand même avoir le droit, dans ces cas-là, de ne pas devoir aller garer et chercher sa voiture à trois ou quatre cents mètres de chez soi, là où peut-être on peut trouver sur un parking ou dans une rue des places de stationnement à tout heure du jour.

Ce n'est pas forcément par goût qu'on habite en centre-ville et qu'on évite la désertification (favorables aux malfrats) des centres-villes la nuit et le dimanche.

Mais évidemment une fois qu'on a investi ou que la municipalité précédente d'une autre couleur ou pas a investi dans des parc-mètres et dans du personnel de surveillance du racket, il faut financer les dépenses ..... ou être courageux.

Le code de la route devra un jour être enfin
rationnel et modulable;
en attendant il n'est pas respectable et donc pas respecté.

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LA BONNE STRATEGIE

Tout en investissant parallèlement dans les transports en commun les plus fréquents et les moins coûteux possible (financés, entre autres, par de justes et légitimes taxes sur le gas oil des camions et/ou des péages à un juste prix par rapport à l'usure ocasionnée toujours pour les camions, la bonne stratégie de réécriture intégrale du code de la route devrait s'appuyer sur les principes suivants considérés à égalité d'importance

1/ éviter au maximum les pertes et détériorations des vies humaines, en particulier par un apprentissage de la conduite, y conduite dans les situations délicates simulées, beaucoup plus sérieux

2/ limiter au maximum les atteintes à l'environnement, en particulier par la "chasse aux surplaces évitables" , en supposant que soit par ailleurs encouragée l'application des fruits de la recherche en fait de consommation et d'échappement

3/ limiter au maximum les atteintes au portefeuille du chauffeur privé, en particulier par la "chasse aux surplaces évitables", non obstat la perte d'une partie de la précieuse TIPP (taxe intérieure sur les produits pétroliers) par les "assoiffés de Bercy".

4/ limiter au maximum le temps de présence sur les routes et le gaspillage de temps en général, toujours en particulier par la "chasse aux surplaces évitables", mais aussi par des limitations de vitesse judicieusement modulée.

Le code de la route devra un jour être enfin
rationnel et modulable;
en attendant il n'est pas respectable et donc pas respecté.

Q

 

 

 

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Le code de la route devra un jour être enfin
rationnel et modulable;
en attendant il n'est pas respectable
 et donc pas respecté.

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