dimanche 07 mars 2004

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S'AIMER
corps et âme
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L'AMOUR

TOUJOURS

L'AMOUR

 

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Le simple bon sens voudrait qu'on aime l'autre sur la base de valeurs qui seront toujours siennes et nôtres quand il/elle aura ou nous aurons quitté cette Terre cette fois-ci.

 

ORGASME

Beaucoup de sexologues déconseillent de rechercher à tout prix l'orgasme simultané, alors qu'effectivement s'efforcer altruistement et généreusement de contribuer à générer l'orgasme de l'autre, le sien venant avant ou après, ou pas du tout cette fois-là, est certainement, y compris spirituellement parlant, positif et même jouissif, puisque c'est altruiste.

Mais, quoiqu'il en soit, il doit y avoir quelque chose de divin, à la fois au sens premier et second du terme, dans la recherche de l'orgasme simultané, non obstant sa "courte" durée et son incomplétude et l'insatisfaction qu'il ne peut qu'entraîner. Quoique si on vit pleinement positivement dans l'ici et maintenant, comme de nombreux sages le conseillent .......

Pourquoi l'orgasme ne serait-il pas, au moins durant une certaine période de notre évolution spirituelle, l'utile, voire l'indispensable, "repos du chercheur" et le symbole, le reflet matérialisé de la fusion avec l'Ineffable ?

Quoiqu'il en soit, ce n'est pas un "piège à cons" sans l'invention duquel la Terre se dépeuplerait. Ca serait plutôt un cadeau de l'Ineffable pour nous encourager à viser "le Paradis".

 

 

Les débordements sexuels en tous genres ne seraient-ils que l'imparfaite expression même parfois horrible, révoltante et évidemment à condamner d'une recherche d'un absolu spirituel ?

 

"Aimer ce n'est pas se regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction" . .

   

Antoine de Saint-Exupéry

 

L'HOMOSEXUALITE

Par delà même la nécessité qui diminue plus ou moins avec les progrès scientifique, de la reproduction de l'espèce humaine, la recherche de l'orgasme paraît "naturellement" nécessiter deux psychismes et deux corps de sexes différents.

Il n'en est pas moins vrai, déjà, depuis des millénaires, que des personnes appartenant apparemment à un des deux sexes, psychiquement et/ou physiquement, suite à des perturbations éducatives ou autres, se résignent à rechercher l'orgasme, à l'aide ou non d'adjuvants matériels, avec l'aide généreuse ou en compagnie égocentrique d'une personne apparemment ou effectivement du même sexe.

Mais il est surtout de plus en plus admis, suite à des recherches et observations diverses, et là encore depuis des millénaires, que des personnes, suite à des phénomènes génétiques, embryonnaires et/ou anténatales n'ont pas, en réalité, le corps et/ou le psychisme de leur apparence sexuelle extérieure et ne peuvent donc trouver l'orgasme et l'épanouissement physique et psychique avec une autre personne, même pas que si elle est, mais parce qu'elle est du même sexe que celui dont eux semblent apparemment relever. Même si ce n'est pas le cas de la majorité des humains.

Quoiqu'il en soit, en supposant que c'est préférable et plus facile, ici aussi, dans un contexte de fidélité au moins assez longue à un seul ou une seule autre, on voit mal ce qui pourrait, même dans le premier cas d'origine post-natale à peine évoqué ci-dessus, empêcher une personne homosexuelle, et mieux peut-être un couple homosexuel, à chercher dans celle de leurs vies-ci aussi, la Vérité spirituelle, exactement au même titre et avec, sans condescendance aucune, le même droit au respect et surtout au succès que tout autre couple de composition ..... "classique" majoritaire.

 

 

"On s'aimait encore, mais ....."

Dans un pays où un couple sur trois se dissout au moins une fois, on rencontre très souvent y compris dans des magazines télé ou autres sensés faire réfléchir au problème "On s'aimait encore, mais ...."

La question essentielle jamais posée alors serait pourtant bien celle-ci "Pour vous qu'est-ce que ça veut dire aimer ?"

Les possibilités de réponses, conscientisées ou non, sont variées

1/ J'arrive encore à jouir en utilisant son plus ou moins beau corps qu'elle y prenne du plaisir ou pas.

2/ Nous arrivons encore à nous faire jouir, ensemble ou l'un après l'autre, en oubliant quelques minutes nos anciennes ou nos futures plus ou moins graves ou grosses disputes

3/ Il y a de sacrés mauvais moments très douloureux, voire des coups de canifs connus dans le contrat, qui laissent de lourdes traces, mais les bons moments et les petites attentions restent, pour le moment au moins, majoritaires

4/ Ca me fait toujours plaisir de voir l'autre être satisfait d'avoir réaliser quelques chose de superficiel (aller à un "beau" match de foot ou gagner une compétition) ou de bien plus profond et valable (poser un acte généreux de solidarité au sein d'une association ou non), mais nos caractères et aspirations sont trop différentes, et au lit ça ne marche généralement plus ou pas.

5/ Je souhaite toujours pleinement qu'il/elle trouve son épanouissement spirituel auquel il/elle aspire déjà ou non, et mais qui est essentiel à mes yeux, mais sur le plan sexuel, intellectuel et/ou spirituel, on n'a rien ou presque en commun comme aspirations ou points de vue

6/ Etc. ....

Quoiqu'il en soit, dans un couple ou à propos d'un couple, il faut savoir ce qu'on met derrière l'emploi du mot "aimer". Et c'est en fait valable aussi, entre autres, pour des relations parentales ou filiales ou encore amicales, car entre l'amour égocentrique (qui n'en est donc pas un) et l'amour altruiste, il est mille degrés, causes et motivations possibles.

 

Aimer, c'est, en reconnaissant dans l'autre l'Ineffable en "devenir", l'aider dans toute la mesure du possible, durant cette vie-ci, à progresser au mieux et sans traîner sur le chemin de la Sagesse et de l'Amour

 

POUR DES CASSETTES
EROTIQUES
DE QUALITE

On trouve en abondance, à tous les prix, sur le marché des cassettes X, dites encore "porno". Les sexologues en conseillent même parfois aux hommes vieillissants, en particulier, pour raviver des ardeurs fatiguées par d'autres moyens que le Viagra. Les scénarios, si seulement l'histoire racontée mérite ce nom, sont très généralement d'une qualité en dessous du très médio- cre.

On trouve parfois aussi quelques rares cassettes en français ou traduites qui proposent une initiation à la sexualité épanouie et à l'érotisme réunies, mais elle aussi très recommandables que très rares

Qui aura un jour l'intelligence, ne serait-ce que commerciale, de produire des cassettes érotiques (et donc plus du tout porno) avec un scénario un peu plus étudié et des scènes d'amour physiques - à deux et rien qu'à deux évidemment - bien amenées vrai- ment tendres et attentionnées sur fonds de musique recherchés ?

L'ivresse orgasmique, consommée avec plus ou moins de modération, peut être un chemin de l'élévation de l'âme. "Il n'y a pas de mal à se faire du bien" , surtout si on en pense au moins au- tant à l'autre qu'à soi, avec un sincère objectif de recherche de la Sagesse?

 

 

PARADOXES

Il y a quelque chose de tristement "sourisible", dans des mariages chrétiens en particulier, de citer Paul de Tarse (aussi dit "Saint-Paul") qui était, sauf erreur, un fieffé misogyne, ou encore Gandhi qui imposa à sa femme une activité sexuelle des plus limitées. Tout comme d'entendre du Jacques Brel qui, sauf erreur, n'aimait pas les femmes (au seul sens premier du terme). Quant à jouer l'Ave Maria, là encore, du moins si on en croit la tradition .......

 

BIZARRE

La langue française est réputée pour sa richesse lexicale et même la France pour le talent de ses amants; mais paradoxalement, c'est avec le même mot qu'on aime les frites et son conjoint. Au moins pour une fois il faut féliciter les anglophones de disposer de deux mots.

Mais, quoiqu'il en soit, il est dommage qu'il n'y ait pas au moins deux mots pour distinguer aimer égoïstement et aimer altruistement. Car lorsqu'on dit, y compris passionnément, "Je t'aime" ...... on veut dire quoi ?

 

AIMER SES ENFANTS

         

"Vos enfants ne sont pas vos enfants,
ils sont les héritiers du monde de demain"

 

Il semblerait qu'en Inde en particulier, on ne dit généralement pas "J'ai trois enfants'", mais "Trois âmes enfants m'ont été confiées par le Suprême".

Par delà les clichés liés à l'amour parental, et l'amour maternel en particulier, il y a en effet une façon très possessive, très égocentrique, très reproductrice de schémas archaïques de prétendre aimer et/ou élever un enfant .... ou encore un petit-enfant.

 

 

Des très "sages" pages
http://www.sens-de-la-vie.com/Archepages/vsv_66_tout_sur_le_sexe.htm
qui ne sont nullement déplacées sur un site qui se veut
avant tout à préoccupations spirituelles;
sauf évidemment aux yeux des obtuses et des obtus
qui sont plus à plaindre qu'à blâmer

 

 

NON A LA PUB SEXISTE

Des femmes d'abord, mais des hommes aussi
qui se battent contre la pub sexiste

http://lameute.org.free.fr/

 

FAUT-IL
« AIMER DIEU »
?

 Essayer d répondre à cette question suppose d’abord de vérifier que l’ « émetteur » (qui écrit) comme le « récepteur » (qui lit) comprennent ces deux termes de manière absolument identique.

 Convenons donc que derrière le vocable « Dieu » (avec une majuscule selon une convention dans un « occident » qu’on le veuille ou non imprégné de culture chrétienne),  il n’est pas question du vieillard à barbe blanche de l’iconographie chrétienne ; ni d’Allah irreprésentable, ni de YWH  (c’est à dire le Dieu  des juifs pas seulement irreprésentable, mais  encore « inécrivable » dans la totalité de sa prononciation, d’où la « suppression » des voyelles par écrit). Ni même d’une des représentations ou appellations de la religion hindoue qui a amené de « doctes experts chrétiens » a écrire savamment que, dans son essence, la religion hindoue est polythéiste, alors qu’il s’agissait de représentations parfois même sous forme partiellement ou totalement animale de qualités possédées forcément par un Dieu considéré comme unique. Ce n’est pas non plus un être qui ne serait que mâle, ce qui n’en fait ni un être femelle ou hermaphrodite. Ni .. ni .. Bref,  un Etre  qui a précisément amené certains sages hindous et d’autres encore sur la planète à parler d’Ineffable, en sous-entendant plus ou moins « Irreprésentable »,   auquel il faudrait logiquement être supérieur pour le « com-prendre » (au sens étymologique) ou le con-naître (toujours au sens étymologique » . Mais, quoiqu’il en soit un Etre source de tout, voire un être « en » qui nous sommes, ou encore plus complètement un Etre dont nous sommes inexplicablement  un des innombrables « composants », une des précieuses et irremplaçables partie d’un Unique TOUT.

 Quant à essayer de définir  le mot « aimer », paradoxalement, la chose est extrêmement délicate ou à nuancer quand on utilise la langue françaises en particulier. Et cela est peut-être plus compliqué et multi-compréhensible  encore que lorsqu’on utilise le mot « Dieu ». Car la langue française, chacun le sait, même les étrangers l’apprenant,  ne comporte en effet qu’un seul mot pour « aimer »  …. un ou du poisson, un spectacle, un paysage, un ouvrage, un écrit,   un enfant, un ami, une amante, etc…

 Et même si on se limite aux humains encore faudrait-il savoir si quand on dit « Je t’aime », on éprouve ce sentiment égocentrique ment pour soi ou altruistement pour l’autre, les deux pouvant être difficilement compatible, sauf si, et encore, aimer l’autre d’abord  pour lui-même vous procure ensuite une satisfaction après tout légitime et naturel.

 Aimer un autre serait-ce vouloir qu’il soit éternellement heureux ou , pour le moins heureux jusqu’à ce qu’on le mette « dans le trou après lequel il n’y a rien » ?  Pour un théiste, le bonheur suprême, c’est d’être « près de » Dieu  parce que toute sa ou ses vies  on s’et efforcé de lui être agréable, donc d’aimer les autres, voire de se sacrifier pour au moins l’un d’entre eux, sinon plusieurs ou beaucoup, sinon tous. Ce qui suppose qu’on a essayé de réduire l’impact de ses défauts et de développer au maximum ses qualités, tout en cherchant à en bien savoir le plus possible   pour être le plus  efficace possible  dans son amour, qui est aussi disponibilité à l’autre et oubli de soi ; au point même, peut-être,  d’aller jusqu’à le tuer s’il le demande en toute connaissance de cause.

 Le sens des deux mots étant maintenant sinon défini,  du moins éclairé, peut-on, faut-il « aimer Dieu » ? Est-ce une question liée à un anthropomorphisme plus ou moins infantile ?  Ou bien faut-il mieux la poser ainsi « Comment aimer Dieu ? » ?

 Peut-être que la réponse se trouve dans une certaine définition possible de l’Amour qui serait « vouloir que le  sujet (et surtout pas l’objet) de notre amour soit heureux durablement ». Mais peut-on imaginer rationnellement  Dieu malheureux ou même seulement insuffisamment heureux ? Peut-être et dans ce cas, aimer Dieu serait non seulement réaliser soi-même ce qu’Il nous souhaite, mais encore aider les autres, sans les contraindre à reconnaître l’existence de Dieu et à « progresser » vers Lui pour progressivement s’immerger en Lui, et donc « retourner » en Lui, Source  hors lieu et hors temps de tout, donc de nous, parcelles de Lui.  

 

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