.LES
PALESTINIENS

 

En déplorant totalement évidemment les victimes généralement innocentes
de cette forme particulière de résistance palestinienne à l'agresseur,
sur des bases religieuses aussi mal fondées soient-elles,
si on est un tant soi peu informé sur le passé et le présent,
on ne peut que condamner le sionisme
religieux et/ou laïc,
et prendre le parti des Palestiniens
même si Yasser Arafat et pas mal de son entourage
sont très loin d'être irréprochables

 

 

 

..........

SOLIDARITE TOTALE

tout en déplorant totalement
les victimes innocentes
(
dans les deux camps)
avec les résistants palestiniens
malgré tous les défauts d'Arafat
à l'occupation
de la "démocratie" sioniste

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POUR COMPLETER : Azmi Bishara (député arabe israélien à la Knesset, dans une conférence publique à Paris le 14 Février 2002) oppose à la chappe de plomb de cette propagande israélienne (détournant, par définition, les termes qu'elle emploi) les conventions de G) enève, dont la quatrième énonce qu'un peuple occupé par la force armée a le droit (le devoir ?) de recourir aux moyens violents, si nécessaire, afin de recouvrer la liberté. Pour lui, c'est ce dont il s'agit dans les territoires occupés, dans le cas des Palestiniens. C'est ce dont il s'est agi, ne l'oublions pas non plus, en "Israël" même (je dirai : à l'intérieur de la ligne verte, pour ne pas avoir l'air de polémiquer) lors de la répression sanglante des manifestations en solidarité avec les Palestiniens des territoires occupés ou autonomes, qui fit, je le rappelle, au moins treize morts).
Donc : Azmi Bishara affirme avec force que le "terrorisme" n'est en aucun cas du côté des Palestiniens, où qu'ils soient, mais qu'il est bien pratiqué, en revanche, par les forces armées d'occupation (dites "de défense", ne rions pas (jaune)) israéliennes et le gouvernement israélien dirigé, comme nous le savons, par un Ariel Sharon auquel on ne saurait contester son brevet de terrorisme. (On annonce, à ce sujet, que la plainte déposée contre lui à Bruxelles a été reçue par le tribunal
).

 

Je n'ai absolument rien contre les juifs d'Israël ou d'ailleurs, a fortiori ceux qui me reconnaissent intelligemment  le droit de tenir compte de leur spécificité identitaire et "entitaire" historico-religieuse, fussent-ils eux-mêmes athées. Mais, tout en me l'expliquant, je désapprouve la création d'Israël,alors qu' il faut bien faire avec plus de cinquante ans après; à condition d'indemniser  le plus possible les Palestiniens dont je comprends en les regrettant absolument les plus meurtriers des actes fanatiques ou désespérés.


 

PAROLES DE JURISTE

- Comme juriste, comment appréciez-vous la situation des Palestiniens. Sont-ils des terroristes ou des résistants ?

- Gisèle Halimi. Il faut d'abord s'entendre sur ce qu'on appelle le terrorisme. C'est un terme qui n'a jamais été défini par le droit international. Le terrorisme est universellement condamné, mais jamais défini. Il a toujours été utilisé pour discréditer l'adversaire. J'ai connu la guerre d'Algérie : le FLN, pour l'Algérie française, n'était composé que d'abominables terroristes. Durant l'occupation allemande, l'Affiche rouge d'Aragon portait les têtes d'affreux terroristes. Devant ce vide, cette absence de définition, une notion s'impose : la distinction entre civils et combattants. C'est la distinction à laquelle s'attachent les organisations humanitaires. Elle est incontournable. Commettent un crime de guerre tous ceux qui s'attaquent aux civils. Amnesty a condamné comme crimes de guerre les attentats kamikazes, mais aussi les ratissages, les destructions, les assassinats commis par Israël. Mais dire cela ne suffit pas, parce qu'on ne peut pas accepter une symétrie entre un Etat organisé, qui se réclame de valeurs démocratiques, et des hommes et des femmes résistant à une occupation injuste. Il faut faire une distinction politique entre ce qui motive les actions des uns et des autres. Les attentats peuvent choquer, mais
il est clair que les Palestiniens mènent une guerre juste, pour obtenir, comme le veulent droit et principes internationaux, le droit d'avoir une patrie, alors que les Israéliens, eux, mènent une guerre de répression. Un terrorisme contre une occupation injuste face à un terrorisme d'Etat. Il y a dans l'occupation israélienne des caractéristiques du fait colonial. Et la pire, je veux le dire ici, c'est l'humiliation d'un peuple courageux et solitaire.

 

Hélas même le "socialiste" Barak a été malhonnête avec Arafat.
Même le "socialiste" Shimon Pèrès n'est pas clair du tout.'j

 


LES PUISSANTS ALLIES
sans qui l'état d'Israël n'existerait plus
depuis longtemps

Les trois plus dangereux Terriens

 

 

 

ANTI-SEMITE OU ANTI-SIONISTE ?

Il est à la fois absurde et inculte d'accuser d'anti-sémitisme ceux qui ne sont pas favorables à la politique israélienne et "comprennent" les Palestiniens puisque ces derniers sont aussi des Sémites (descendants de Sem, s'il exista jamais). Par contre je n'ai aucune honte, bien au contraire, de me dire anti-sionisme car, outre leurs attitudes plus que "douteuses" depuis leur création la fin du XIX° siècle, les principaux partisans du sionisme sont devenus des criminels travestissant outrageusement les réalités historiques d'hier comme d'aujourd'hui; ce qui, en tant que chercheur compatissant de la sagesse, ne me permet pour autant pas d'être anti-sionistes. Mais c'est dur !

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RAPPEL

La résolution des Nations-Unies de 1947
c'était incontestablement la création
 
conjointe et simultanée
d'un état israélien et d'un état palestinien.
Et quand les Nations Unies ont envoyé un émissaire
pour préparer les modalités d'application
un futur premier ministre israélien l'a fait assassiné

 

"Le monde entier est concerné par la fin la moins injuste possible du conflit palestino-sioniste. Seule une irresponsable méconnaissance de l'histoire des cent dernières années de la terre palestinienne peut expliquer, même pas excuser un soutien même minimum à l'état sioniste dit israélien ou même seulement à Pérès qui n'est qu'un peu moins faucon et injuste que Sharon. Quels que soient les défauts et les torts d'Arafat et de son entourage, que que soit l'accord de Paix qu'il importe de signer au plus vite, il sera toujours injuste pour les Palestiniens qui pourront légitimement exiger une compensation financière de tous les "grands" pays qui, pour ménager leur bien réél lobby juif et/ou sioniste national, sont co-responsables de la spoliation palestinienne".

 

Un lien très précieux

http://www.solidarite-palestine.org/pfpip/pfpip.php3?cmd=0

 

 

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