LES
ISLAMISMES

 

 

Remarque initiale : Il y a sur la Toile (référencés sur ce site-ci) d'excellents sites francophones sur les islamismes. Il n'est donc pas question ici de faire double emploi. Mais bien d'ajouter des réflexions personnelles faillibles qui susciteront peut-être des réactions et échanges intéressants

 

 

Islam : Ce mot, à l'origine du mot "musulman", désigne la religion, les pratiques, les croyances de ceux qui se soumettent à Allah, en suivant le message transmis par Mahomet.

Musulman : "Celui qui se soumet (à Dieu)", un croyant.

http://www.chez.com/islam

 

 

 

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La Kaaba

 

 

Ah si seulement on pouvait prouver
que c'est bien Dieu ou Allah ou Yahwe
qui a inspiré, sinon écrit,
le livre sacré de chaque religion monothéiste,
on pourrait peut-être éventuellement admettre
qu'on tue les âmes et/ou les corps
en son nom

 

Mahomet est tout de même, sauf erreur,
le seul fondateur d'une religion
qui guerroya énormément
et, entre autres, approuva pleinement
le meurtre de 900 mâles juifs
et la vente comme esclaves
de leur femme et de leurs enfants.
Difficile à justifier.

 

 

C'EST EVIDENT
:-))))))

Il paraîtrait que lorsque Mahomet a décidé de ne plus résister à l'ordre du Seigneur, transmis par un ange, de prendre une seconde femme, sa premiere lui a dit que celà l'arrangeait bien, lui, pas elle.

Sans avoir l'esprit vicieux, ni même mal tourné, ç'était évident !

N.B. Mille ans après environs, en Amérique du Nord, un autre inspiré de Dieu, a fait l'objet de la même "pression", le fondateur des Mormons, qui n'avait "rien contre".

:-)))))))

 

 

 

Quelle explication donnent les islamismes au fait de l'extrême variété des sorts, et en particulier au fait que des êtres mènent une vie misérable - ressentie douloureusement comme telle par eux-même - depuis leur naissance, voire leur conception, jusqu'à leur mort qui survient plus ou moins longtemps après ?

 

 

UNE APPROCHE SOUFIQUE

Pir-o-Murshid Hazrat Inayat Khan.

http://www.soufi-inayat-khan.org/themes/navigati/nav_rei.htm

 

 

Si on revendique une appartenance à une religion plus ou moins ancienne ou même, à la rigueur, à une secte plus ou moins récente qui, respectant votre libre-arbitre, vous fait estimer, avant tout, que vous devez corriger vos défauts, développer vos qualités, avoir un train de vie qui n'insulte pas la misère mondiale et aider dans la mesure de vos moyens ceux qui vous appellent à l'aide, quels que soient les fondements de cette religion ou de cette secte, et que vous vous efforcez réellement sincèrement et sereinement de vivre ainsi, sans prosélytisme, peu (m')importe. La société ne saurait en pâtir, bien au contraire.

 

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IL EST EVIDENT QUE

des femmes et des hommes s'efforcent sincèrement de vivre l'une ou l'autre des conceptions métaphysiques ci-dessus évoquées; mais il ne leur est pas facile de ne pas être victime de et/ou  maîtriser un poison et une béquille.

 Le poison, c'est "le Livre" ou les livres "inspirés" liés au fondateur, à ses disciples ou à ses successeurs généralement divisés. Au nom de ces écrits on peut faire le bien, mais on a fait beaucoup de meurtres; ou pour le moins on s'est servi de ces écrits pour justifier des objectifs et/ou des actes très humains, très égocentriques, très matériellement intéressés.

La béquille,  ce sont les rites en tous genres que beaucoup  d'autres qu'eux - les sincères ci-dessus évoqués - non pas respectent, mais font plus ou moins mécaniquement, sans ou sans beaucoup vivre l'esprit de la religion qu'ils revendiquent. Alors que l'affirmation selon laquelle il y a un bénéfice à tirer de rites vécus en assemblée est peut-être une réalité,  mais très bassement matérielle utile avant tout au financement de la vie des cadres depuis les plus modestes jusqu'aux plus hauts.

 

 

 

     

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