SOLIDARITES
EN FRANCE

 

 

LES JARDINS PARTAGES

Le "Jardin dans tous ses états" est le nom d'une dynamique d’échanges entre les porteurs de projets de "jardins partagés" et leurs partenaires associatifs, politiques et institutionnels.

Ces jardins sont divers, mais portent des valeurs communes de partage, de créativité, de solidarité entre les communautés, d’aide aux personnes en difficulté, de liens retrouvés avec le monde vivant, de respect de notre environnement…

 

http://pro.nordnet.fr/jardinons/

 

 

Que n'aurait-on entendu, surtout à gauche, si c'était un homme politique de droite qui avait déclaré que "La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde". Et pourtant c'est bien la stricte réalité, même si avoir parlé d'invasion est un peu excessif. Malheureusement c'est aussi notre mode de consommation qui provoque cette invasion, alors que la France ne respecte pas ses pourtant modestes engagements de consacrer 0,7 % de son budget à soutenir les pays en voie de sus-sous-développement.

 

"La revendication des droits ne devrait jamais être dissociée de celle des devoirs ; ceux des revendiquants d’abord,  car s’ils les respectent, leurs devoirs,  ça les crédibilisent  et augmentent  leurs droits face à ceux  auprès desquels ils les exigent … qui, en sus de leurs devoirs,  ont aussi des droits"

 

REALISONS BIEN

Dans le moindre produit vital que s'achète un pauvre, il y a quelques différentes dizaines au moins de fractions de sur-salaires ou de sur-exigences de salaire de cadres du public ou du privé totalement injustifiés et égo-centriques

De nombreux chefs de familles ou hommes qui voudraient légitimement le devenir sont sans emploi parce que, à côté de celles qui en ont réellement besoin pour assurer un minimum vital, une large fraction des femmes qui ont des emplois pas désagréables et pénibles les occupent pour se payer du superflu

Combien coûteraient moins les maisons neuves si ceux qui en fixent le prix non seulement ne devaient pas intégrer les sur-salaires évoqués ci-dessus, mais encore ne raisonnaient pas dans le style "On peut gonfler les prix, on trouvera toujours des couples candidats qui contineront de travailler à deux" .... toujours, quoiqu'on en dise au dépens des enfants, et finalement de la société ?

 


http://www.lesamisdelaconf.org

 

Il y a le vital, le simplement normal (déjà quelque peu subjectif), le superflu (bien plus subjectif encore) et le luxe (sans commentaire). Et il y a quelques milliards de Terriens qui ne disposent pas du normal, alors/parce que quelques millions de Terriens n'appellent pas le superflu par son nom.

 

  LOGIQUE ?

Alors que beaucoup de défavorisés se montrent solidaires des défavorisés, il arrive que les actions plus ou moins pertinentes et non démagogiques des "droitdelhommistes" favorisés fassent avancer les problèmes. Mais encore faut-il qu'après cela, ils ne se retrouvent pas au restaurant, face à un bon steack, en parlant de leur prochain sport d'hiver et de leurs prochaines luxueuses vacances d'été.

 

De nombreux chefs de familles ou jeunes hommes qui voudraient légitimement le devenir sont sans emploi parce que, à côté de celles qui en ont réellement besoin pour assurer parfois un minimum vital, une large fraction des femmes qui ont des emplois pas désagréables et pénibles les occupent pour se payer de l'inconstestable superflu

Dans le prix de revient, de vente et/ou d’achat de beaucoup de biens et/ou de services plus ou moins indispensables aux petites gens, y compris les dépenses de santé vitales, est inclus une fraction du revenu que certains  ont jugé indispensable pas seulement pour gagner leur croûte, mais aussi pour gagner leur caviar.

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