dimanche 08 février 2004

LE
REINCARNATIONISME
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ALLEZ SAVOIR

Suite à des "régressions", certains ont crû pouvoir (se) démontrer que certaines "âmes" renaissent pour le moins à la même période et, à un moment ou à un autre, se retrouvent, sous le même sexe ou pas, sous le même statut parental ou pas, pour des durées plus ou moins longues.

 

 

Depuis un certain temps, des sages du monde entier et pas seulement asiatiques,  pensent que tout âme, entre deux vies, choisit le contexte non seulement de sa nouvelle vie,  mais également celui de sa nouvelle future mort, considéré,comme l'occasion - épreuve fondamentale à réussir - d'adopter une attitude détachée, équanime, sereine,  sage et confiante envers la Source Ineffable de toute existence..

Connaît-on autant d'humains détachés, équanimes, sereins,  sages, sinon  confiant envers une source  de toute existence qui démontrent la pertinence d'un autre point de vue ?

 

 

A partir du moment où, outre les témoignages et/ou affirmations de sages bouddhistes, entre autres, des sérieux bilans d'études - telles celles de Ian Stevenson - démontrent ou au moins semblent démon trer que des âmes incarnées de toutes catégories sociales ont prouvées qu'elles ont précédemment, dans un laps de temps assez réduit, habité un autre corps humain à une distance géographique plus ou moins assez proche de leur vie du moment , y-a-t-il une raison logique de croire què'elles ont bénéficié d'un privilège exceptionnel, et que ce n'est pas le cas de toutes les âmes sur cette planète et/ou probablement sur d'autres planètes également de notre vaste univers ? Même si on recule régulièrement la date d'apparitions des premiers hommes "sensés" sur terre, ce qui offre déjà de nombreuses possi- bilités d'expériences de vie permettant l'évolution spirituelle d'une âme.

 

 

PROBABLEMENT

Nous ne sommes pas des humains vivant
une seule et unique expérience spirituelle.
Nous sommes des êtres spirituels vivant,
entre autres,
une à plusieurs expériences humaines.

 

 

 

Un peu en marge
quoique

LE PHILOSOPHE ET LE PARA-NORMAL

" LE PHILOSOPHE ET SES FANTOMES" sous la direction de l'association C.E.N.C.E.S (Centre d'Etude National et de Commu- nication sur des Enigmes Scientifiques)n PARIS, Centre Jean Dame Samedi 06 avril 2002, de 14 h 00 à 18 h 30.

La technique de la feuille de vigne continue de se pratiquer. On voit refleurir dans certains jardins des cache-sexes sur les statues naguère dénudées ; en philosophie aussi, on constate le déni de certaines réalités historiques malvenues. Aujourd'hui où l'on redécouvre Bergson et G. Marcel, où la pensée d'un Schopenhauer est brillamment relancée par R.P. Droit, où les recherches de William James sont à nouveau citées, ces philosophes se trouvent discrètement privés d'une de leur source d'inspiration pourtant avérée - et bien connue : les " sciences psychiques ". Car qui ignore que Schopenhauer a commis un ouvrage sur les fantômes, que William James a pratiqué nombre de séances de spiritisme et a relaté ses expériences dans au moins un livre, que Gabriel Marcel a été président de " l'Institut de Recherches Métapsychiques " ?

Il est instructif d'observer le traitement de telles données. Elles n'attirent pas le regard, n'amènent à aucune investigation, il s'agit d'une " non-information ", comme si nos chercheurs - si précis et avides de détecter les " influences " et les détours d'une pensée - n'avaient pas remarqué des faits aussi patents. Pourtant, on peut relire des dizaines de fois dans leur notice biographique que William James ou Bergson ont participé à des centaines de séances d'évocation des esprits, sans que cela ne crée la moindre curiosité : la " métapsychique " est devenue un non-objet de pensée. Ensemble hétéroclite d'expériences de " vision à distance ", de somnambulisme, de témoignages sur les " sorties hors du corps " et les " communications spirites " et autres anecdotes étranges, qui fascinait naguère, et ne suscite plus aucun intérêt. S'agit-il d'un choix pesé, rationnel, qui permet d'écarter a priori cet ensemble farfelu et " antiscientifique " de pseudo-expériences ? Ou bien, plus intéressant, n'assiste-t-on pas à la formation d'un non-lieu de la philosophie, zone aveugle, négligée systématiquement par tous les penseurs " sérieux " sans raisons " sérieuses ", autre qu’une non-mode philosophique ?

Emmanuel-Juste Duits, écrivain, enseignant en philosophie, secrètaire général du CENCES.

Plus d'infos : http://www.ondes.org
Observatoire National de Discernement des Enigmes Scientifiques

 

 


 

LA REINCARNATION ET LES SCEPTIQUES

La réincarnation est comme le lapin Energizer. Toujours elle poursuit son chemin. C'est un concept qui dure ; il résiste au passage du temps en dépit des nombreuses attaques des sceptiques. En considérant sa longue histoire, on ne peut sempêcher de se demander comment une croyance aussi ancienne arrive encore à fasciner certains esprits modernes et développés, en cette époque où d'autres idées de l'Antiquité (la terre plate par exemple) ont depuis longtemps été rejetées.

Les adeptes du I-Kuan Tao considèrent la réincarnation comme une vérité évidente en soi, mais en Occident une telle conclusion est loin dêtre universellement reçue. Le fait que la science nous ait permis de réaliser tant de choses en ce monde nous amène peut-être à tout mesurer selon ses normes. Que la spiritualité soit non physique et que les méthodes de la science soient enracinées dans la réalité physique nous importe peu, semble-t-il. Nous voulons toujours savoir sil est possible de « prouver » la réincarnation.

J'observe dintéressantes manifestations de la nature humaine au cours de ce grand débat. Par exemple, souvent les sceptiques se qualifient dindividus raisonnables, intelligents et instruits ; aussi se placent-ils au-dessus des croyants. Jetez un coup d'œil à cet échange concret entre deux sceptiques:

Sceptique A: « Une des doctrines les plus fondamentales du Bouddhisme est lanatman (anatta), quon peut traduire par : non-âme, non-Moi, non-ego, etc. Le Bouddhisme considère explicitement l'existence de l'âme (du Moi, de lego) comme illusoire. Ce serait donc cette illusion qui est réincarnée. »

Sceptique B: « La réincarnation d'une illusion... mmm Voici maintenant un nouveau concept pour le Nouvel âge. »

Sentez-vous l'arrogance qui transpire de ces mots? Pas très attrayant, nest-ce pas? Il apparaît que ces deux individus considèrent les croyants comme des imbéciles, des ignorants qui manquent d'objectivité.

 

Il est ironique de constater quen fait ce sont ces deux sceptiques qui savèrent ignorants. Ils appuient leur raisonnement sur un simple malentendu de la doctrine bouddhiste. Ce que le Bouddhisme considère illusoire n'est pas et n'a jamais été l'âme, mais plutôt notre isolement individuel ou notre séparation les uns des autres.

 

« Le Moi est une illusion. » Ceci signifie tout simplement que vous et moi ne faisons quun. Nous sommes un tout relié, des gouttelettes d'eau dans l'océan métaphysique des âmes. Nous empruntons laspect dindividus dans cet univers physique afin daccélérer notre apprentissage et notre croissance spirituelle, mais à la fin nous réintégrons l'océan et fusionnons avec lui. La totalité de cet océan cosmique porte bien des noms - Nirvana, Dieu, Tao, Lao Mu, Âme universelle - mais peu importe la façon dont nous choisissons de lappeler, vous et moi en faisons partie. Nous ne pouvons jamais être véritablement séparés de lui, ou les uns des autres.

 

Une autre manière denvisager ce concept est de nous considérer nous-mêmes comme des cellules individuelles dans létendue de lunivers. De même que chaque cellule est un monde en elle-même, chacun de nous possédons une personnalité unique; exactement comme les cellules qui, dans un organisme, forment un tout indivisible, nous aussi sommes inextricablement liés les uns aux autres. L'idée dun « Moi » limité ne s'applique tout simplement pas lorsque lon fait un avec la plus grande totalité.

 

N'est-ce pas là un excellent enseignement? Ne comprenant rien à lessentiel, les deux sceptiques cités ci-dessus se révèlent être dimbéciles ignorants... au cours dune manifestation plutôt intéressante de la nature humaine.

 

Dans leur ardeur à démontrer leur justesse, souvent les sceptiques ségarent bien loin du véritable esprit de la recherche scientifique - bien quils se perçoivent comme des champions de la science. Une fois confrontés à une évidence irréfutable ou à des faits troublants, difficilement explicables sans avoir recours à la réincarnation, ces gens sont susceptibles de prononcer un vif rejet : « Il y aura toujours des mystères inexpliqués. Ça ne signifie pas nécessairement que la réincarnation soit vraie. »

 

Il y a un problème avec cette position : on peut y avoir recours pour rejeter à peu près chaque preuve en faveur de la réincarnation. Aucune place pour de nouvelles découvertes; tout doit se conformer à un paradigme préconçu selon lequel aucun phénomène paranormal peut être vrai. On appose létiquette « inconnu » à tout ce qui ne s'adapte pas à ce paradigme et lon ignore ces faits, peu importe à quel point ils peuvent savérer irrécusables.

 

Existe-t-il des preuves aussi solides et convainquantes dans le domaine de la réincarnation? Oui. Par exemple, tous ceux qui le désirent peuvent examiner les études méticuleuses du Dr. Ian Stevenson sur des enfants éprouvant des souvenirs spontanés de vies passées.

 

Parmi les nombreux cas véridiques rapportés dans les dossiers du Dr. Stevenson, on retrouve celui dun jeune garçon qui se rappelle avoir été un mécanicien décédé lors dun accident de voiture. Dans limpossibilité de nous apprendre quoi que ce soit au sujet du mécanicien, le garçon peut néanmoins dénommer spécifiquement et avec exactitude le conducteur, les lieux de laccident, les membres de la famille du mécanicien ainsi que les amis de ce dernier.

 

On dénombre environ trois mille cas comme celui-ci, tous scrupuleusement documentés et vérifiés. Il est possible que certains d'entre eux sexpliquent par déventuels canulars, coïncidences ou fabulations, mais pas tous. Un penseur vraiment objectif ne peut quattribuer un certain poids à cette montagne d'évidence.

 

Cependant les sceptiques tentent de la discréditer, indiquant que les cas recensés par le Dr. Stevenson proviennent en grande partie d'Inde et d'autres pays de lOrient, là où la réincarnation est une notion beaucoup plus admise. Les enfants de telles cultures sont influencés par leur environnement, soutiennent-ils, et sont donc bien plus susceptibles dinventer de semblables histoires en se plaçant eux-mêmes dans le rôle vedette.

 

Regardons cette affirmation de plus près et posons-nous quelques questions. Absence de preuve signifie-t-elle nécessairement preuve dabsence? En d'autres termes, quimplique réellement la relative pénurie de cas aux États-Unis? Cela signifie-t-il que les enfants américains ninventent pas dhistoires à propos de vies antérieures, ou bien alors qu'ils sont moins susceptibles de partager leurs réminiscences au sein dun environnement où la réincarnation est loin dêtre universellement acceptée?

 

Autre question à considérer: Si les enfants occidentaux décidaient dexprimer leurs souvenirs, leurs parents sen rendraient-ils même compte? Arriverait-il seulement à ces derniers dadmettre la réincarnation comme possible explication dun tel témoignage, ou le considéreraient-ils simplement comme létalage dune imagination enfantine en pleine action?

 

Les enfants qui se rappellent leurs vies antérieures sont tout simplement en train de sinventer un scénario coloré et basé sur un conditionnement culturel, pourrait-on avancer. Mais comment alors expliquer dans les cas du Dr. Stevenson tous ces détails concordants qui repoussent les limites du vraisemblable?

 

À la lumière de ces faits, je me permets de croire que vous devinerez combien il est difficile de maintenir la position sceptique. C'est essentiellement une excuse facile, non pas le fruit de la véritable pensée scientifique.

 

Quelque chose est à lœuvre ici. Quelque chose de merveilleux. Pourquoi scruter chaque explication possible alors que la plus évidente suffit amplement? Pourquoi devrions-nous tomber à nouveau dans les « Je ne sais pas » ou les « Je ne suis pas sûr » et aussitôt tirer le rideau sur le problème?

 

Vraiment, il y a là de quoi se réjouir. Nous parlons ici de quelques raisons éloquentes pour qu'une personne ouverte desprit accueille favorablement et considère sérieusement la notion selon laquelle la mort physique n'est pas la fin. Nos âmes se remettront en route. Avec lassistance de maîtres et desprits apparentés (ou âmes sœurs), nous déterminerons le prochain ensemble denseignements lors dune prochaine incarnation. Le processus continue et nous, comme le lapin Energizer, poursuivrons indéfiniment notre chemin, encore et encore et encore et encore

 


L'AVENIR DE LA TERRE

Bof ! Pas vraiment grave si, comme c'est probable, la Terre n'est pas la seule planète que les âmes peuvent habiter tout au long de leur évolution spirituelle. Mais vraiment débile, car c'est une insulte à l'intelligence et, globalement, le fruit d'un égoïsme .. suicidaire. Heureusement l'Ineffable à tout prévu ;-)))).

 http://www.cybersciences.com/cyber/4.0/2004/02/reeves.asp

 

 

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