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LE
BURKINA FASO

 

 

 

POURQUOI LE BURKINA ?

Parce que je suis entré dans un petit séminaire de congrégation religieuse en Septembre 1955 dans le but de devenir père missionnaire dans l'Est du Burkina Faso. L'année suivante, je me suis mis à correspondre jusqu'en 1961 avec un jeune Burkinabè. Renouant avec lui (directeur d'école retraité) en 1997, je me suis dit que je pourrais l'aider, lui et sa nombreuse famille, en créant une associations française de solidarité internationale et en envoyant à une association que mon ami Albert aurait créer des vieux vélos (très utilisés au Burkina) récupérés chez les gens et dans les déchèteries. Avec l'argent de trois mécènes de mes relations professionnelles, je suis allé prendre contact avec divers Burkinabè fin Mai-Début Juin 2000 et je suis rentré (très fatigué) alors beaucoup plus crédible pour solliciter le soutien des élus. Malheureusement pour des raisons qui m'échappent encore mes principaux interlocuteurs et partenaires associatifs nous ont l'un après l'autre fait défaut et cette action (sur laquelle il n'y a pas de droit d'auteur) a malheureusement due être mise en "coma artificiel" alors qu'il y a toujours plein de vélos à récupérer gratuitement en France et à envoyer réalistement là-bas.

Je garde néanmoins de la sympathie pour le Burkina Faso en général et, encore plus, une grande affection pour quelques femmes et hommes de ce très pauvre et attachant pays (qui se reconnaîtront) en particulier.

 

 

 

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BURKINA FASO
(On prononce "bourkina fasso")

Ce terme signifie "République du pays des hommes intègres"
Ses habitants s'appellent les Burkinabè
(C'est un nom et un adjectif invariable).


N.B. Auparavant le Burkina Faso s'est aussi, un temps,
appelé "Haute-Volta"
"parce qu" ' il était traversé par trois Volta qui se rejoignent au Nigéria .

 

 

 


MES AMIS BURKINABE

 

Athanase, Jacqueline et Harold BAFO
Athanase travaille au Centre Culturel Français l'Ouagadougou

Ramata SORE
Ramata est journaliste à l'Evènement,
Quinzomadaire indépendant d'Ouagadougou

Abdou et Hortense LINGANI
Abdou est   au PNUD
(Programme des Nations-Unies pour le Développement)

Salif LINGANI
Salif est doctorant en   Ouagadougou


Paul YARO

 

 

Le Burkina est environ moitié moins grand en surface que la France.
Ayant atteint à cette date les onze (11) millions d'habitants,
il sera probablement un jour subdivisé en
10 régions administrées par un gouverneur.
Il est déjà, pour le moment, subdivisé en
45 régions administrées par une ou un haut-commissaire
et également subdivisé en
300 départements administrés par une ou un préfet.
N.B. Mais le concept de département au Burkina
est très différent du concept français "même lozérien",
et on parle de "préfet-maire" d'un regroupement de villages
On pourrait dire que l'équivalent territorial, en France, d'un département burkinabè
serait plus ou moins une "communauté de communes".

A noter que la première subdivision provinciale ayant été faite
initialement en trente (30) régions,
le numéro minéralogique de chaque région actuelle
ne correspond plus à l'ordre alphabétique des noms de régions.
(Voir la carte quadrillée avec abcisses et ordonnées "chez François")
http://burkina.kibare.ctw.net/repere.htm

 

 

La devise du Burkina Faso est
UNITE
. PROGRES . JUSTICE

L'étalon est l'animal mythique
par excellence au Burkina

 

 

NOTEZ BIEN

Il semble qu'on puisse utiliser indifféremment
"Burkina" et "Burkina Faso" .
Les autochtones et les "branchés" disent même parfois
"Le Faso".
Le Burkina Faso réunit et unit
une soixantaine d'ethnies plus ou moins différentes
dont la principale (environ 50 %) est l'ethnie des Mossi
qui parle le mooré.

 

 

 

 

C'EST LE PNUD QUI LE DIT

Peuple fier, les Burkinabè n'aiment vraiment qu'on dise que leur pays , en partie pour des raisons naturelles et en partie pour des raisons politiques, sinon "tempéramentales", est un des plus pauvres du monde. Et pourtant le le PNUD (Programme des Nationas-Unies pour le Développement qui le dit :

Le rapport mondial sur le développement Humain Durable 2000 classe le Burkina Faso 172ème sur 174 pays avec un IDH (Indice de développement humain) estimé à 0,303. Selon les statistiques nationales et le diagnostic entrepris dans le Rapport national en 1999, l'espérance de vie à la naissance était de 54 ans, le taux de scolarisation d'environ 30% et le taux d'alphabétisation des adultes se situait à un niveau inférieur à 20%. D'une manière générale, le trait dominant au plan social est la pauvreté de la population dont près de 45,5 % vivent en-dessous du seuil de pauvreté avec un revenu par an et par adulte équivalent à 72 690 FCFA soit environ 103 $ US ou 726,90 F ou encore 110,80 €uros.

 

 

LE BURKINA FASO
AUJOURD'HUI

La jeunesse étant forcément l'avenir d'un pays, nous avons sélectionné un excellent article du 20 Avril 2000, paru dans le quotidien d'Etat SIDWAYA, pour permettre à nos "visiteurs" de s'imaginer un peu la situation sociétale (hors toute considération politique) du Burkina Faso.

La pauvreté étouffe la raison !

La tranche d'âge des enfants scolarisables au Burkina est présentement estimée à 2,33 millions d'enfants. Elle atteindrait 2,689 millions d'enfants en l'an 2005. Malheureusement, on ne constate pas une espèce de ruée sur l'école burkinabè 51,05 % des enfants en âge d'aller à l'école se plaisent plutôt à exercer un métier lucratif. Cette peur de l'école à un seul nom : la pauvreté.

La population du Burkina Faso était estimée, au mois de juillet 1999, à 10 941 754 d'habitants. Les femmes constituent 5,67 millions (soit 51,8%). Quant aux enfants âgés de 0 à 18 ans, ils sont 6,1 millions dont 3,2 millions ont entre 5 et 14 ans. Il y a un doublement tous les 26 ans de la jeunesse burkinabè qui vit au rythme d'une croissance très rapide. Du reste, on estime que d'ici à la fin de l'an 2000, le Burkina compterait 12,1 millions d'habitants et 14 millions en 2005.

En terme de parité de pouvoir d'achat, notre pays est classé par le rapport mondial du PNUD de 1998 sur le développement humain, parmi les pays les plus pauvres (172/174 pays) au monde. Le seuil absolu de pauvreté est 41 099 F CFA et concerne 44,50% de la majorité de la population. Depuis le programme d'ajustement structurel (PAS), le taux de chômage est passé de 1,1 % en 1991 à 2,5% en 1994. En fait, la persistance de la malnutrition et de la sous-alimentation des enfants, la misère sociale, le chômage et surtout l'analphabétisme croissant, etc. s'explique essen- tiellement par la paupérisation du Burkinabè moyen de la campagne dont le revenu annuel est de 31 749 F CFA (soit 317 Francs français).

Nacoulma Boureima habite à Bendogo, un quartier périphérique non viabilisé à Ouagadougou. Boureima a 48 ans. Il a trois (3) femmes et douze (12) enfants (quand nous sommes arrivés chez lui, tous les enfants étaient allés en ville pour, a confié le père de famille, chercher de l'argent). La calvitie avancée, habillé en haillons avec son visage ridé, Boureima a perdu son emploi dans une société publique liquidée en 1994. L'homme qui se dit beaucoup amaigri parce que, explique-t-il, ne mangeant pas chaque jour à sa faim, est chauffeur de profession. Boureima a renvoyé deux de ses femmes au village parce que, soutient l'ex-chauffeur, les épouses sont "incapables d'entreprendre la moindre activité pour venir assurer le repas quotidien...". Il avait 16 ans quand il s'est vu obligé d'abandonner la classe de 4e pour devenir malgré lui " mécanicien", de mobylettes sous les caïlcédrats de Ouagadougou. Moussa, l'un des benjamins de la famille, a définitivement fugué. Boureima affirme qu'il n'a pas vu de ses yeux son fils depuis 5 ans. Agé maintenant de 9 ans, Moussa est "commerçant ambulant" de mouchoirs "Kleenex" (ou Lotus) dans les rues de Ouagadougou. Quand l'enfant avait l'âge d'aller à l'école, le père était déjà dans sa traversée du "désert social" ; il n'a donc pas eu la chance (aller à l'école dans les pays pauvres dépend bien le plus souvent de la chance qui "tombe" sur les enfants selon les humeurs des parents). Quant à Assétou, 17 ans, nous avons, avec la complicité de son père, suivi ses traces qui nous ont conduits au "travail de nuit" qu'elle exerce dans deux nights clubs de Ouagadougou. Quatre (4) autres enfants "se débrouillent en ville" faute de moyens financiers pour payer la classe de 6e ; alors qu'ils ont le Certificat d'études primaires (CEP). En réalité, quand l'enfant a faim, il n'entend que le grondement insupportable du ventre en lieu place de la voix du maître en classe considérée naïvement par les enfants comme la cause de leurs conditions de vie.

Les enfants abandonnent l'école
51,05 % des enfants âgés de 10 à 15 ans exercent une activité économique. Ils font de petits métiers professionnels ou sont des manœuvres agricoles et des domestiques de maison. La majorité des enfants en âge scolarisable se retrouvent malheureusement dans la rue, dans le travail, dans la délinquance juvénile, dans les prisons, etc. Quand ce ne sont pas les enfants eux-mêmes qui quittent très tôt l'école, ce sont les parents qui les obligent, convaincus qu'ils sont, que l'école n'est pas pourvoyeuse d'emploi dans l'immédiat. Sur 1000 enfants entrant au CP1, seulement 383 parviennent au CM2 dont 205 enfants sans redoublement. Parmi ces élèves qui parviennent en fin de cycle primaire, 50 % seulement des candidats obtiennent leur diplôme, mais le reste va allonger la liste des non scolarisés pour ne pas dire des chômeurs. Sur 1 821 932 enfants en âge d'aller à l'école à la rentrée scolaire de 1994, seulement 600 032 enfants ont pu s'inscrire. Un taux nettement inférieur à celui des pays au Sud du Sahara.

Estimé à 1,802 millions enfants en 1991, la tranche d'âge scolarisable atteindrait un rythme annuel de 2,9 %, c'est-à-dire 2,33 millions d'enfants d'ici la fin de l'an 2000 ; et 2,689 millions en l'an 2005. Notre pays consacre 28,50% des dépenses aux secteurs jugés relevés du domaine de souveraineté contre 27,50% aux secteurs sociaux. Il y a de cela trois ans, le Burkina comptait 2 956 écoles soit 10 254 classes dont 2764 écoles publiques comportant 9400 classes et 192 écoles privées avec 854 classes. Malheureusement les bienfaits de l'école burkinabè ne semblent pas inciter les familles, notamment celles des campagnes, à inscrire leurs enfants à l'école. En fait, il sera aussi opportun de s'interroger sur le devenir des Ecoles satellites et des Centres d'éducation de base non formelle (ES/CENF) qui ont pris la forme d'un projet le 9 décembre 1995 et qui devait s'exécuter en deux phases (1995-2000/2000-2005). Ce projet, financièrement assisté par l'UNICEF, le Canada, les Pays-Bas, la France, devrait, il faut le rappeler, aider à relever le taux de scolarisation au primaire de 33 % à 46 % en l'an 2000, et 60 % en l'an 2005 ; à réduire de 2/3 les écarts entre les taux de scolarisation des garçons et des filles ; à réduire les disparités régionales ; à améliorer la qualité de l'enseignement et à relever le taux d'alphabétisation de 20 % à 30 % en l 'an 2000. En se basant sur le faible taux de scolarisation particulièrement des filles, et de l'état de description scientifique de la langue du milieu, etc. , quelque 336 ES/CEBNF ont été construites notamment dans dix (10) provinces du Burkina. La première phase du projet est terminée et une évaluation objective de cette nouvelle philosophique de l'école burkinabè s'impose.

Idrissa NOGO

Autre extrait d'un article de SIDWAYA

En réponse à cet ensemble de questions, le ministre Tertius Zongo a déclaré que la pauvreté était un phénomène à contours très divers. Elle est "l'épicentre de la marginalisation tant économique que politique parce qu'elle empêche les individus de participer et de contribuer de façon significative à la croissance de l'économie et à la gestion de la cité".

Pour mieux appréhender le phénomène, le gouvernement burkinabè a initié des enquêtes en 1994 et 1998. La première avait déterminé le seuil de pauvreté absolu à la somme de 41 099 F par personne et par année. Sur la base de ces chiffres 44,5 % de Burkinabè étaient pauvres. L'enquête réalisée en 1998 a révisé le seuil de pauvreté à 72 690 F par personne et par an. Ces nouvelles données indiquaient que 45,27 % de la population étaient touchées par la pauvreté soit une légère augmentation.

Entre 1994 et 1998, la pauvreté s'est accrue en milieu urbain de près de cinq points tandis qu'elle connaissait une baisse marginale d'un demi point en milieu rural. Pendant la même période, la distribution de la pauvreté par groupe socio-économique fait ressortir des écarts entre salariés du public ou du privé et les autres groupes. Pour ce qui est du processus d'élaboration de la stratégie nationale pour la croissance et la réduction de la pauvreté, le gouvernement est resté attaché à son traditionnel principe de démarche participative, de dialogue et de concertation avec les forces vives de la nation. Ainsi, l'exécutif a-t-il engagé le dialogue au sein de l'administration, avec les partenaires au développement et avec la société civile et les autres acteurs de terrain.

Le gouvernement est conscient que pour réduire la pauvreté, la croissance économique devra être plus forte au cours des années à venir. Pour cela, quatre objectifs doivent être atteints de façon progressive à travers quatre programmes qui vont de l'amélioration de la sphère économique des pauvres à une meilleure coordination de l'aide en passant par le développement des ressources humaines et leur gestion rationnelle.

Autre extrait très "parlant" (toujours de SIDWAYA)
surtout lorsqu'on considère tous les efforts que font "néanmoins" les femmes burkinabè pour s'organiser entre elles, sinon s'émanciper.

L'élan des femmes freiné

Les femmes contribuent à 51,47 % dans les activités agricoles. En dépit de tout, les statistiques prouvent que cette contribution est en déçà eu égard aux pesanteurs socioculturelles dans lesquelles elles vivent. Le Programme national de gestion des terroirs (PNGT) vient de mener une étude sur le sujet. Les conclusions ont même fait l'objet` d'un atelier national tenu du 7 au 9 juin 2000 à Ouagadougou.

Le rôle des femmes dans le secteur agricole est variable en fonction des ethnies avec une influence de la religion et de l'économie de la zone. Cette diversité s'observe surtout au niveau de la production

agricole et de l'élevage; elle se présente sous trois

cas de figure en agriculture.

Le premier cas les femmes exécutent tous les travaux culturaux sur le champ familial en même temps qu'elles exploitent des parcelles personnelles de cultures vivrières (mil, sorgho, riz arachide, niébé, gombo). Chez les Turka et les Gouins après le mariage ce sont surtout les femmes qui doivent travailler pour rembourser la dot payée par le mari.

Le deuxième cas de figure, les femmes exécutent seulement certains travaux sur le champ familial tout en disposant de leur propre champ de cultures vivrières. C'est ainsi que chez les Bobo, les Gourounsis et certains Sénoufo, elles effectuent les semis, les travaux d'entretien, les récoltes mais pas le labour. Chez les Lobi et les Dagara, les femmes interviennent au niveau du semi et de la récolte.

Le troisième cas les femmes n'interviennent pas dans le champ familial. Certaines ont des champs personnels (dafing, bella, rimaïbé, certains peulh), d'autres ne cultivent pas du tout.

Les produits du champ personnel des femmes servent d'appoint à l'alimentation familiale ou sont vendus pour assurer d'autres dépenses (habillement, condiments...).

Dans le domaine de l'élevage, les femmes s'adonnent généralement au petit élevage (ovins, caprins, volaille, porcins). Elles peuvent posséder des bœufs qu'elles confient à des éleveurs. Dans beaucoup d'ethnies notamment chez les mossis, ce sont les maris qui ont une main mise sur les animaux des femmes. Ainsi rarement elles se déclarent propriétaires. Les autres activités agricoles exercées par les femmes sont la transformation, la conservation et la commercialisation des produits agricoles.

Les femmes sont très présentes dans l'artisanat et le commerce ; les activités artisanales sont surtout du type utilitaire poterie (ustensiles de cuisine, jarre, canaris d'eau...) la vannerie (paniers, vans nattes...) la maroquinerie, la broderie, le tissage, la couture, la teinture. Cependant des difficultés existent dans ces activités : ce sont la faible demande, l'inorganisation du marché et la concurrence des produits modernes ou en métal plus solide et durable.

Impliquer une autre approche
Généralement c'est la femme qui assure la commercialisation des produits agricoles. Mais avec l'évolution des instruments de mesure (tine, plats yorouba), la grande tendance est la supplantation des femmes par les hommes. Elles restent confinées au petit commerce par manque de fonds. Leur rayon d'action étant limité au marché du village ou dans les environs. Avec des institutions comme le Fonds aux activités rémunératrices des femmes (FAARF) quelques pionnières commencent à s'illustrer dans le commerce sur grande distance surtout avec la création des groupements villageois. Les hommes burkinabè en milieu rural dépensent seulement 8% de leur revenu en nourriture le reste est consacré à l'habitat, aux obligations sociales, aux investissements agricoles et aux biens d'équipement (radio, bicyclette, montre..).

Malgré l'importance de leur rôle, les femmes n'ont pas toujours été impliquées dans les actions de développement. Elles ont difficilement accès aux formations techniques et de gestion. L'appui- conseil en matière de transformation des produits agricoles reste faible. Dans le domaine de l'eau, les points d'eau potable restent éloignés et leur nombre insuffisant; leur entretien revient aux hommes. Les femmes ont très peu accès à l'eau d'irrigation, ce problème étant lié à l'accès à la terre .

Avec les difficultés économiques, les hommes ont tendance à récupérer les ressources dont l'exploitation était jusque-là réservée aux femmes (bois de chauffe, karité). L'accès des femmes aux équipements, aux intrants, aux crédits, aux fonciers est insuffisant eu égard à leurs besoins.

La non participation des femmes à la prise de décision que ce soit au niveau familial ou collectif reste toujours une réalité. Ce sont autant de réalités socioculturelles qui pèsent lourdement dans la participation de la femme au processus de développement que l'étude commandée par le PNGT (Programme national de gestion des terroirs) a pu relever. Les causes étant connues il est maintenant facile de trouver les voies et les moyens pour permettre à la femme de contribuer pleinement au processus de développement en milieu rural. C'est à cela que le séminaire a réfléchi et a proposé des solutions adéquates.

Comme solution majeure proposée, le ministère de la Promotion de la femme doit jouer son rôle de promotion à tous les niveaux au profit des femmes. Pour cela il doit intégrer dans sa stratégie l'approche genre développement. Cet autre approche qui favorise une meilleure réussite des projets de développement.

Elisabeth SOUGUE
Source: Etude sur la participation de la
femme au développement en milieu rural

 

 

"Il y a le vital, le simplement normal (déjà quelque peu subjectif), le superflu (bien plus subjectif encore) et le luxe (sans commentaire). Et il y a quelques milliards de Terriens qui ne disposent pas du normal, alors/parce que quelques millions de Terriens n'appellent pas le superflu par son nom"

L'EVENEMENT
Un quotidien burkinabé très intéressant

 

 

LE JOURNAL DU JEUDI
Le Canard enchaîné du Burkina
http://www.journaldujeudi.com/

 

 

       


mardi 20 avril 2004

 

 
     

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