Chercheurs
spiritualistes, devons-nous nous
acharner à rendre nos conclusions et nos
messages le plus "plat"
possible pour pouvoir les glisser sous la
porte des matérialistes ? Est-ce une
affaire de stratégie plus qu'une affaire
de vérité ? Pour faire partager nos
certitudes - quoique les certitudes ...
-, à moins qu'il faille écrire nos
constats, doit-on flirter avec la
frontière du rationnellement correct ? |