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BIEN & MAL

 

 


Au sens habituel religieux et peccamineux des termes, on peut penser que le bien et le mal n'existent pas, ou au moins sont mal nommés ainsi. Par contre il semblerait qu'on puisse leur substituer les concepts de régression et progression ... vers la sagesse, et finalement la Sagesse, au sens de connaissances les plus variées et nombreuses possibles bien utilisées avec compassion au service des autres créatures de l'Ineffable.

Les crimes et les criminels, à petite ou grande échelle sont-ils des preuves de l'inexistence de l'Ineffable qui, selon la formule bien connue, "S'il existait, ( il) ne permettrait pas tout ce mal " ?

La réponse est assez simple à comprendre ... quand elle vous est fournie. Aimeriez-vous que vos enfants que vous êtes sensés aimer, et même "bien" et "judicieusement "aimer", n'aient aucune possibilité de vous désobéir, de vous être désagréables. Qu'ils soient toujours "sages", qu'ils appliquent toujours vos principes ? Que vos enfants ne soient, finalement, que des robots programmés par vous ? Pourraient-ils vous aimer, même au sens un peu étroit, voire égocentrique, du terme ?

Dans toute la mesure relative où nous sommes des enfants de l'Ineffable, il est compréhensible qu'Il ne pouvait pas faire autrement - revers de la médaille - que de nous donner la possibilité d'agir régressivement pour que nos libres actions positives et donc progressantes nous amènent progressivement à expérimenter toutes les jouissives occasions de bonté, éléments constitutifs de Sa Bonté
Sachant que nos actions régressives peuvent s’avérer des épreuves potentiellement positives pour celles et ceux qui en sont éventuellement même très douloureusement victimes.

           

J-M.G

 

P.S. Bien évidemment tout cela est fruit de lectures faillible(s) et discutable(s)

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